Le docteur Gaelle Damilot est médecin spécialiste en Anesthésie.

Le docteur Gaelle Damilot est médecin spécialiste en Anesthésie.
Le jeudi 7 février, de 14h00 à 18h00, amphithéâtre CHL Centre.
Georges-Bernard Shaw, Dramaturge et essayiste irlandais
Cette année voit la 9ème édition du CHL ACADEMY, évènement de reconnaissance et de valorisation de l’investissement de nos collaborateurs dans le processus d’apprentissage, de recherche et d’enseignement.
Le collaborateur, acteur de son évolution professionnelle
Acteur à part entière du développement des compétences et de la mise en œuvre de la stratégie de notre institution, le salarié qui se forme et qui réfléchit aux pratiques professionnelles pour les améliorer participe à la démarche de différenciation professionnelle affichée par le CHL, et à la diffusion de nos valeurs. Cette acquisition continue de compétences nouvelles ou actualisées favorise l’émergence d’une conscience collective et d’une culture de qualité et de sécurité des soins prodigués au patient. La construction des savoirs est une tradition de longue date dans notre Centre Hospitalier, construction portée par notre politique de formation continue. Nos collaborateurs sont inscrits dans un projet individuel et collectif de Long Life Learning grâce notamment à l’engagement de formation exigé par la loi sur les professions de santé avec l’obligation de mettre à niveau ses compétences.
Le développement des compétences couvre trois niveaux :
A ce titre, ne nombre de formations suivies, de travaux réalisés et leur diversité contribuent au développement de la richesse professionnelle de notre institution en termes d’excellence professionnelle et humaine, et ce, dans une optique ambitieuse de recherche de l’hyperspécialisation.
Cette année, les différents thèmes traités reflètent la palette des compétences cliniques, managériales et organisationnelles mises en oeuvre et des projets initiés dans les services. Les thèmes cliniques sont le résultat de la pensée soignante inscrite dans sa dimension d’innovation et de qualité. Les autres thèmes soulignent quant à eux le rôle clé du manager dans son service et celui de support de la fonction RH dans la recherche de la performance de l’hôpital. Le collaborateur formateur, garant du partage des connaissances.
Le CHL ACADEMY est également l’occasion de valoriser et de reconnaître l’engagement de nos collaborateurs dans la mission de formateur interne. Cette mission concerne plus de 160 salariés de l’établissement et légitimise leur expertise et savoir-faire professionnel. Elle est très importante dans le processus de formation conitnue et dans l’optimisation du transfert des acquis parce qu’elle permet de répondre concrètement aux besoins du collaborateur et de proposer des enseignements dans leur langue et jargon professionnels en connaissance des processus internes et de la réalité du terrain.
Le collaborateur formateur se démarque par la connaissance de l'établissement, entre autres son histoire, sa mission, sa culture, ses valeurs, ses produits ou services, les liens hiérarchiques, les rôles et responsabilités de chacun.
L’arrivée d’un enfant ... de votre enfant ... un tout plein d’émotions et d’amour est certainement l’un des plus beaux moments de votre vie.
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Studio By C Premiers Instants 9, rue de Flaxweiler L-6951 Olingen. E-mail: info@studio-by-c.com
Il est préférable de nous contacter via e-mail, nous nous ferons un plaisir de vous répondre dans les plus bref délais.
Merci beaucoup et à bientôt, l’équipe Studio By C
L’allergie au poisson est l’une des allergies alimentaires les plus dangereuses qui soient, car elle peut provoquer des symptômes potentiellement fatals comme les chocs anaphylactiques. Des scientifiques du Luxembourg Institute of Health (LIH) redonnent toutefois espoir aux personnes concernées : ils viennent de découvrir que la protéine parvalbumine, habituellement à l’origine de l’allergie, est beaucoup moins allergénique dans les poissons cartilagineux que dans les poissons osseux. Les personnes allergiques au poisson ne sont donc plus nécessairement contraintes de renoncer à un aliment particulièrement sain.
Le poisson est une source importante de protéines très digestes et d’acides gras oméga-3. Or les personnes allergiques doivent l’éviter à tout prix. En effet, la réaction allergique menace en cas d’ingestion, mais pas seulement : la simple inhalation accidentelle de vapeurs de poisson sur les marchés ou dans les restaurants, de même que l’exposition cutanée, donnent lieu à une sanction immédiate.
Une nouvelle étude menée au LIH et au Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), en collaboration avec des experts en alimentation de l’Université de médecine de Vienne, vient de mettre en évidence que la protéine parvalbumine est beaucoup moins allergénique dans la chair des poissons cartilagineux que dans celle des poissons osseux, ces derniers étant consommés bien plus fréquemment. La raie bouclée (Raja clavata), un poisson cartilagineux, a été identifiée comme étant une alternative alimentaire potentiellement intéressante pour les personnes allergiques au poisson. La quasi-totalité des sujets ayant participé à cette étude – qui présentaient une allergie au poisson avérée, parfois sévère – ont pu consommer de la raie sans qu’aucune réaction allergique ne survienne. Cette conclusion a été publiée dans la prestigieuse revue spécialisée Journal of Allergy and Clinical Immunology: In Practice.
Le Dr Annette Kuehn du LIH, le Dr Françoise Morel-Codreanu du CHL et le Prof. Heimo Breiteneder de l’Université de médecine de Vienne sont unanimes :
Largement répandue – de l’océan Atlantique oriental à la Norvège, de la mer du Nord à la Namibie, la raie bouclée est également proposée à la consommation dans notre pays. Ses grandes nageoires pectorales sont découpées en filets pour être dégustées.
« Cette première étude recèle de grandes potentialités. Nous prévoyons maintenant d’en élargir le spectre, jusqu’ici restreint à la population européenne, afin d’améliorer de manière significative la qualité de vie de nombreuses personnes allergiques au poisson dans le monde entier », explique Tanja Kalic de l’Université de médecine de Vienne, auteure principale de l’article scientifique. « Par ailleurs, nous nous efforçons de compléter la gamme de poissons que les personnes allergiques peuvent consommer sans risque. »
Le Dr Annette Kühn, le Dr Christiane Hilger et le Professeur Markus Ollert du « Department of Infection and Immunity » du LIH, le Dr Martine Morisset et le Dr Françoise Morel-Codreanu du CHL, le Prof. Heimo Breiteneder et Tanja Kalic de l’Université de médecine de Vienne, ainsi que leurs équipes respectives, ont travaillé en étroite collaboration sur ce projet. Les patients allergiques et les sujets témoins ont été inclus dans l’étude au sein du CHL et les échantillons cliniques ont été traités au LIH. Comptent parmi les autres partenaires internationaux le Dr Karin Hoffmann-Sommergruber et le Prof. Christian Radauer de l’Université de médecine de Vienne, le Prof. Ines Swoboda de l’Université des sciences appliquées de Vienne (FH Campus Wien), le Dr Christine Hafner de l’Hôpital universitaire St. Pölten et l’équipe dirigée par le Prof. Andreas L. Lopata de l’Université James Cook à Townsville (Australie). Le projet a été financé entre autres par le Fonds National de la Recherche au Luxembourg.
„Fish-allergic patients tolerate ray based on the low allergenicity of its parvalbumin.“ T. Kalic, F. Morel-Codreanu, C. Radauer, T. Ruethers, A. Taki, I. Swoboda, C. Hilger, K. Hoffmann-Sommergruber, M. Ollert, C. Hafner, A. Lopata, M. Morisset, H. Breiteneder, A. Kuehn. The Journal of Allergy and Clinical Immunology: In Practice, November 2018
L’allergie au poisson est l’une des allergies alimentaires les plus dangereuses qui soient, car elle peut provoquer des symptômes potentiellement fatals comme les chocs anaphylactiques. Des scientifiques du Luxembourg Institute of Health (LIH) redonnent toutefois espoir aux personnes concernées : ils viennent de découvrir que la protéine parvalbumine, habituellement à l’origine de l’allergie, est beaucoup moins allergénique dans les poissons cartilagineux que dans les poissons osseux. Les personnes allergiques au poisson ne sont donc plus nécessairement contraintes de renoncer à un aliment particulièrement sain.
Le poisson est une source importante de protéines très digestes et d’acides gras oméga-3. Or les personnes allergiques doivent l’éviter à tout prix. En effet, la réaction allergique menace en cas d’ingestion, mais pas seulement : la simple inhalation accidentelle de vapeurs de poisson sur les marchés ou dans les restaurants, de même que l’exposition cutanée, donnent lieu à une sanction immédiate.
Une nouvelle étude menée au LIH et au Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), en collaboration avec des experts en alimentation de l’Université de médecine de Vienne, vient de mettre en évidence que la protéine parvalbumine est beaucoup moins allergénique dans la chair des poissons cartilagineux que dans celle des poissons osseux, ces derniers étant consommés bien plus fréquemment. La raie bouclée (Raja clavata), un poisson cartilagineux, a été identifiée comme étant une alternative alimentaire potentiellement intéressante pour les personnes allergiques au poisson. La quasi-totalité des sujets ayant participé à cette étude – qui présentaient une allergie au poisson avérée, parfois sévère – ont pu consommer de la raie sans qu’aucune réaction allergique ne survienne. Cette conclusion a été publiée dans la prestigieuse revue spécialisée Journal of Allergy and Clinical Immunology: In Practice.
Le Dr Annette Kuehn du LIH, le Dr Françoise Morel-Codreanu du CHL et le Prof. Heimo Breiteneder de l’Université de médecine de Vienne sont unanimes :
Largement répandue – de l’océan Atlantique oriental à la Norvège, de la mer du Nord à la Namibie, la raie bouclée est également proposée à la consommation dans notre pays. Ses grandes nageoires pectorales sont découpées en filets pour être dégustées.
« Cette première étude recèle de grandes potentialités. Nous prévoyons maintenant d’en élargir le spectre, jusqu’ici restreint à la population européenne, afin d’améliorer de manière significative la qualité de vie de nombreuses personnes allergiques au poisson dans le monde entier », explique Tanja Kalic de l’Université de médecine de Vienne, auteure principale de l’article scientifique. « Par ailleurs, nous nous efforçons de compléter la gamme de poissons que les personnes allergiques peuvent consommer sans risque. »
Le Dr Annette Kühn, le Dr Christiane Hilger et le Professeur Markus Ollert du « Department of Infection and Immunity » du LIH, le Dr Martine Morisset et le Dr Françoise Morel-Codreanu du CHL, le Prof. Heimo Breiteneder et Tanja Kalic de l’Université de médecine de Vienne, ainsi que leurs équipes respectives, ont travaillé en étroite collaboration sur ce projet. Les patients allergiques et les sujets témoins ont été inclus dans l’étude au sein du CHL et les échantillons cliniques ont été traités au LIH. Comptent parmi les autres partenaires internationaux le Dr Karin Hoffmann-Sommergruber et le Prof. Christian Radauer de l’Université de médecine de Vienne, le Prof. Ines Swoboda de l’Université des sciences appliquées de Vienne (FH Campus Wien), le Dr Christine Hafner de l’Hôpital universitaire St. Pölten et l’équipe dirigée par le Prof. Andreas L. Lopata de l’Université James Cook à Townsville (Australie). Le projet a été financé entre autres par le Fonds National de la Recherche au Luxembourg.
„Fish-allergic patients tolerate ray based on the low allergenicity of its parvalbumin.“ T. Kalic, F. Morel-Codreanu, C. Radauer, T. Ruethers, A. Taki, I. Swoboda, C. Hilger, K. Hoffmann-Sommergruber, M. Ollert, C. Hafner, A. Lopata, M. Morisset, H. Breiteneder, A. Kuehn. The Journal of Allergy and Clinical Immunology: In Practice, November 2018
https://doi.org/10.1016/j.jaip.2018.11.011
Le Luxembourg Institute of Health (LIH) est un institut de recherche public de pointe dans le domaine des sciences biomédicales. Bénéficiant d’une forte expertise en santé publique, en cancérologie, en maladies infectieuses et immunitaires ainsi qu’en stockage et traitement d’échantillons biologiques, l’institut s’engage, au travers de ses activités de recherche, pour la santé de la population. Au LIH, plus de 300 collaborateurs travaillent dans le but de générer des connaissances sur les mécanismes des maladies humaines et contribuer ainsi à la mise au point de nouveaux diagnostics, de thérapies innovantes et d’outils efficaces pour une médecine personnalisée. L'institut est le premier prestataire d'informations en matière de santé publique au Luxembourg, un partenaire fiable pour des collaborations sur des projets locaux et internationaux et un lieu de formation attractif pour les chercheurs en début de carrière. www.lih.lu
Le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL) est un hôpital aigu de 579 lits avec des missions nationales (il dispose de 9 services nationaux ainsi que d'équipements nationaux comme le PET Scan, la lithotritie extra-corporelle et le laboratoire de fécondation in vitro), des missions de santé publique, des missions de recherche et d'enseignement.
Ses activités sont réparties sur 4 sites, à savoir le CHL Centre, la CHL KannerKlinik, la CHL Maternité et le site CHL Eich. Annuellement, le CHL réalise plus de 30.000 hospitalisations en stationnaire, 6.600 hospitalisations en hôpital de jour et environ 511.000 prises en charge en ambulatoire dans les consultations et les secteurs médico-techniques, représentant plus 165.000 patients traités et suivis sur l'année.
La recherche médicale au CHL s'articule autour de deux axes: la recherche de laboratoire en collaboration avec le LIH et la recherche clinique à travers des études souvent multicentriques européennes et en collaboration avec le Fonds National de la Recherche. www.chl.lu
Department of Infection and Immunity
Luxembourg Institute of Health
E-mail : annette.kuehn@lih.lu
Disponibilités pour des interviews: sur demande au Service Communication
Responsable Communication
Luxembourg Institute of Health
Tel : +352 26970-893
E-mail : juliette.pertuy@lih.lu
Responsable Communication
Centre Hospitalier de Luxembourg
Tel : +352 4411-3838
E-mail : kohner.nadine@chl.lu
Mme Charlotte Delcave a fait ses études de pharmacie et la spécialisation de pharmacie hospitalière à l'Université Catholique de Louvain (UCL) de 2009 à 2017. Durant ses trois années de spécialisation, elle a travaillé au CHU UCL Namur sur le site de Mont-Godinne dans les différents secteurs de la pharmacie. Elle a également fait une formation de trois mois en pharmacie clinique à Montréal fin 2016.
Elle a ensuite travaillé une année au CHU Saint-Pierre, à Bruxelles, dans le département Production pour la validation des chimiothérapies et dans le département de pharmacie clinique pour les services d’oncologie/hématologie.
Elle a rejoint le CHL début octobre 2018. Elle a dans un premier temps travaillé en tant que pharmacien clinicien dans les services de chirurgie. Depuis janvier 2020, elle travaille comme pharmacien clinicien dans les services de réanimation adulte et pédiatrique et en néonatologie. Elle est aussi membre du Comité des Antiinfectieux (CAI) et membre du Comité de Lutte contre la Douleur (CLUD).
Tel. : 4411-8279
Fin 2017 - début 2018 ont été menées plusieurs études au niveau national, commandées par le Ministère de la Santé et la CNS, visant à étudier le fonctionnement de l’ensemble des services d’urgences du pays. Les consultants mandatés avaient comme mission d’émettre des recommandations concernant l’organisation et les moyens requis, médicaux et soignants, afin d’améliorer les processus de prise en charge et aider au désengorgement de ces services, toujours plus sollicités.
La Direction du CHL a très tôt perçu l’opportunité de développer un projet innovant par l’implication directe des équipes des urgences dans la révision du processus de prise en charge du patient aux urgences.
L’équipe des urgences voit dorénavant son rôle s’enrichir de missions nouvelles, notamment de coordination, d’organisation, de régulation et d’information par la création du poste d’« Infirmier de Liaison aux Urgences ».
Il peut ainsi, au travers d’objectifs et de missions clairs, contribuer de manière efficace et concrète, à l’amélioration du séjour du patient aux urgences. L’équipe médicale, partie prenante et impliquée dans la réussite du projet, participe au déploiement des actions dans une volonté d’amélioration.
L’infirmier de liaison doit disposer de compétences cliniques et linguistiques, connaître précisément l’organisation et les flux du service afin de proposer et suivre la mise en œuvre d’actions visant à résoudre les difficultés rencontrées.
En effet, l’organisation médico-soignante aux Urgences prévoit la répartition médicale et soignante dans différents secteurs (tels que le Déchocage, la Salle d’Urgences, les Lits Portes, la Suture, le Tri ou encore la Salle de Plâtre). L’infirmier de liaison se positionne au centre du service et peut intervenir dans tous les secteurs de soins de l’unité, en appui des binômes médico-soignants.
Afin d’identifier facilement l’infirmier de liaison, il est porteur d’un gilet d’identification de couleur verte. Présent durant les 24h de garde, de jour comme de nuit.
À noter également que les infirmiers du tri, qui accueillent, évaluent et orientent les patients sont également porteurs d’un gilet d’identification, de couleur orange celui-ci.
Ce gilet leur permet d’être facilement identifiables et repérables par les patients et ambulanciers lors de leur premier contact avec le service.
L’insuline est une hormone sécrétée par le pancréas. Elle a pour rôle principal de permettre au glucose de rentrer dans les cellules. Mais aussi de stocker le sucre dans le foie, les muscles ou les adipocytes sous forme de graisse.
L’insuline permet donc grâce à ces mécanismes d’avoir dans le sang un taux de sucre ni trop élevé (hyperglycémie) ni trop bas (hypoglycémie).
Attention : changez d’aiguille à chaque injection.
L’insuline se conserve :
ATTENTION : vérifiez les dates de péremption.
Un stylo à insuline est PERSONNEL et ne se partage pas.
Réf. : Flyer Utilisation stylo insuline Sept 2024