Plâtres / Attelles

Plâtres / Attelles

Votre blessure exige un traitement par plâtre, cette contention plâtrée a pour but d’immobiliser un membre fracturé (bras ou jambe) en attendant sa consolidation - en principe 6 semaines.

 

QU'EST-CE QU'UN PLÂTRE ?

Un plâtre ou une attelle plâtrée est généralement posé(e) sur avis médical, pour obtenir une immobilisation d'une fracture ou d'une entorse grave.

On fait la différence entre:

  • plâtre synthétique
  • plâtre de paris
  • attelle plâtrée

Si vous avez un plâtre ou une attelle de la jambe, il y a un traitement d'injection d'héparine sous cutanée à suivre, pour éviter des thromboses veineuses profondes.

 

COMMENT SE POSE UN PLÂTRE ?

Tous les plâtres commencent par un jersey, suivi de bandes synthétiques de ouate et enfin du plâtre ou d’une languette de fibre de verre ou plâtre de paris.

À la pose du plâtre, le plâtre devient chaud. C’est normal, c'est la réaction chimique avec l’eau.

Le plâtre synthétique sèche dans les 10 minutes qui suivent. Le plâtre de paris a besoin de 24h jusqu’à ce qu’il soit complètement sec.

 

COMPLICATION/RISQUES D'UN PLÂTRE? A QUOI FAIRE ATTENTION?

  • Un léger œdème (gonflement) du membre cassé est normal. Surélevez le bras ou la jambe plâtré(e) sur un oreiller pour minimaliser le risque de gonflement.
  • Surveillez la sensibilité de l’extrémité du membre plâtré. Si une sensation de fourmillement, d’engourdissement ou de picotement apparait, contactez votre médecin ou la salle de plâtre.
  • Surveillez la chaleur de vos extrémités, elle doit être identique à celle du reste du corps.
  • Surveillez la motricité de vos doigts/orteils. Il faut bien les bouger pour stimuler la circulation sanguine et éviter les raideurs.

Si vous présentez un de ces problèmes mentionnés, veuillez contacter votre médecin ou la salle de plâtre

 

PRENDRE SOIN DU PLÂTRE

  • Gardez le plâtre propre et sec, ne le mouillez pas (douche, pluie).
  • Vous pouvezvous servir d’un sèche-cheveux si vous avez des démangeaisons.
  • Vérifiez la peau autour du plâtre: présence d’ampoules ou de rougeurs.
  • N’insérez rien sous le plâtre pour gratter, vous risquez de blesser la peau.
  • Ne coupez pas le plâtre.
  • Evitez de conduire avec un plâtre: conduite risquée, risque de conflit avec les assurances...
  • Il ne faut pas marcher sur votre plâtre, sauf sur avis médical.

 

L'ABLATION DU PLÂTRE

L'ablation du plâtre de manière fendue ou circulaire se fait sur avis médical.

La scie utilisée est une scie spéciale à plâtre, qui ne peut pas couper la peau.

En coupant le plâtre, la scie pénètre le plâtre avec douceur. Cela fait du bruit. Après avoir coupé le plâtre, celui-ci est ouvert avec un écarteur pour pouvoir couper le rembourrage et le jersey.

Normalement après 6 semaines, votre fracture est guérie, et il n’y a pas besoin d’en poser un nouveau, sauf sur indication de votre médecin.

 

N'hésitez pas à appeler notre service pour toute question ou informations supplémentaires au: +352 4411-2130 (de 9h30-17h00) 

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Injection sous-cutanée d'héparine de bas poids moléculaire

Injection sous-cutanée d'héparine de bas poids moléculaire

QU’EST-CE QU'UNE THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE (TVP)?

Une thrombose veineuse profonde (TVP) est provoquée par un caillot sanguin indésirable, qui obstrue une veine profonde d’un membre, généralement dans un mollet ou une cuisse, mais parfois aussi un bras.

 

QUELLES SONT LES CAUSES D’UNE THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE?

  • L’immobilisation plâtrée
  • L'alitement à long terme
  • Un long voyage
  • Les interventions chirurgicaux
  • Des anomalies sanguines

 

QUELLES SONT LES COMPLICATIONS D’UNE THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE?

La complication la plus importante, chez un patient avec aucun traitement, est l'embolie pulmonaire. Le caillot sanguin circule dans le sang, et bouche une ramification artérielle du poumon.

 

COMMENT PRÉVENIR UNE THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE?

Le plus souvent le médecin vous prescrit un traitement, s’il existe un risque de thrombose. Il s’agit d’un médicament appelé «Héparines de bas poids moléculaire».

La dose et la fréquence d’injection sont prescrite par le médecin et sont liées à votre poids et aux risques. L’injection se fait en sous-cutané (dans la graisse) soit dans le ventre ou dans la cuisse. 

 

COMMENT FAIRE L'INJECTION?

L’injection doit se faire en sous-cutané, à distance du nombril, 1x par jour, environ à la même heure :

MESURES COMPLÉMENTAIRES

Le traitement médicamenteux peut également être accompagné par des diverses mesures supplémentaires :

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Conseils de surveillance après un traumatisme crânien mineur

Conseils de surveillance après un traumatisme crânien mineur

Votre enfant a subi un choc à la tête. L’examen médical et les contrôles réalisés pendant la période d’observation aux urgences ont montré une évolution favorable.

Ainsi, votre enfant peut rentrer à la maison. Toutefois, le risque de complication tardive, même s’il est rare, ne peut-être exclu totalement.

Donc une surveillance est nécessaire pendant un minimum de 24 à 48 heures. Celle-ci peut-être effectuée à domicile.

 

QUELQUES CONSEILS:

Garder l’enfant au repos pendant 24 à 48 heures:

  • Il est autorisé à lire, dessiner, jouer et regarder modérément la télévision.
  • S’il va au soleil, pensez à lui mettre des lunettes de soleil et une casquette.
  • Les exercices violents et les sports de combat sont déconseillés pendant deux semaines.
  • Le retour à l’école est possible 24 à 48 heures après le traumatisme.

Donnez-lui un régime léger pendant 24 à 48 heures.

Si son état de santé vous inquiète ou au moindre doute:

  • Présentez votre enfant à votre pédiatre/médecin traitant ou aux urgences pédiatriques en cas de signes cliniques inquiétants.
  • Pour toute information, n’hésitez pas à prendre contact avec votre pédiatre/médecin traitant durant les deux semaines qui suivent le traumatisme.

Si votre enfant a mal à la tête, donnez-lui du Paracetamol (Enelfa®, Perdolan®, Dafalgan®, Doliprane®)

Attention ! NE PAS DONNER DE : Nurofen®, Brufen®, Aspegic®, Aspirine®

 

CONSULTEZ IMMÉDIATEMENT SI VOTRE ENFANT PRÉSENTE UN DES SIGNES SUIVANTS:

  • perte de connaissance, somnolence anormale, enfant qui n’ouvre pas les yeux,
  • maux de tête persistants, qui s’aggravent et ne cèdent pas au paracétamol,
  • vomissements à répétition,
  • convulsions, mouvements anormaux,
  • troubles de la vue ou de la parole,
  • faiblesse d’un bras ou d’une jambe,
  • comportement inhabituel, confusion sur les noms et les lieux, irritabilité, enfant,
  • qui pleure beaucoup, inconsolable,
  • démarche instable, vertiges, trouble de l’équilibre, › saignement ou écoulement clair du nez,
  • apparition d’un hématome au niveau de la tête.

 

En cas de doute, n’hésitez pas à rappeler l’équipe des Urgences pédiatriques du CHL au 4411-6148 / Ambulance ou Samu : 112

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Je viens d'avoir un plâtre

Je viens d'avoir un plâtre

CE QUE JE PEUX FAIRE

  • Je garde mon bras dans une écharpe
  • A l'école je dépose mon bras sur le bureau
  • Le plus souvent possible, je couche ma jambe sur une chaise, même à l'école!

CE QUE JE NE PEUX PAS FAIRE

  • Je ne laisse pas pendre ma jambe
  • Je ne laisse pas pendre mon bras
  • Je ne mouille pas mon plâtre, même quand il est sale!
  • Je ne me gratte pas avec des objets! Je ne rentre rien dans mon plâtre!

NORMALEMENT, JE N’AI PLUS MAL 

MAIS JE PRÉVIENS MES PARENTS SI...

  • la couleur de mes doigts ou de mes orteils change,
  • je sens comme une sensation de fourmis,
  • mes doigts ou mes orteils sont plus gros que d’habitude,
  • j’ai du mal à les bouger. 

 

Mes parents peuvent toujours téléphoner à la Kannerklinik au :

(+352) 4411-6148 (entre 8h-12h et 13h-17h) 

(+352) 4411-1 (17h-18h)

 

Réf. : Flyer Je viens d'avoir un plâtre KK Juillet 2024

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Tuberculose

Tuberculose

DÉFINITION ET MODE DE TRANSMISSION

La tuberculose est une infection bactérienne due au bacille de Koch (BK), l’homme est le réservoir du germe.

La contamination se fait par voie aérienne. Un malade tuberculeux transmet les BK en toussant, crachant, éternuant, ou simplement en parlant. Les BK restent présents dans l’air pendant plusieurs heures.Le risque est d’autant plus grand que la concentration en BK est élevée.

Les facteurs de risque de la maladie sont: alcoolisme, diabète, dénutrition, déficit immunitaire (HIV, cancers). La maladie survient tout particulièrement dans les milieux sociaux défavorisés (SDF, toxicomanes, détenus) et dans les foyers (vie en communauté, promiscuité). Elle est plus fréquente parmi des immigrants venant de pays à haute prévalence.

La prévention de la tuberculose repose sur la vaccination par le BCG dont l’efficacité n’est pas prouvée sauf chez la forme méningée du nouveau-né. Le BCG ne fait plus partie des vaccinations recommandées dans nos pays.

La tuberculose est une maladie à déclaration obligatoire.

 

INCIDENCE

La tuberculose est en recrudescence depuis une quinzaine d’année. Un tiers de la population mondiale est infecté par le BK mais seul 5 à 10% des individus développent une maladie symptomatique. En effet la primo-infection tuberculeuse est asymptomatique dans 95% des cas et seul quelques sujets après un délai d’incubation plus ou moins long (1 à 3 mois, voire 2 ans) développent la maladie.

Des réactions tardives peuvent survenir après quelques années, liées à l’âge ou à une autre cause d’affaiblissement.

La plupart des cas se situent dans les zones peuplées d’Asie (Bengladesh, Indonésie, Indochine). On note une recrudescence dans les pays de l’Europe de l’Est. La croissance reste forte en Afrique avec une proportion importante de séropositivité HIV.

 

CLINIQUE

La primo-infection :

l’incubation est lente (entre 1 et 3 mois) et dans la majorité des cas, le sujet infecté ne présente pas de symptômes.

La tuberculose maladie :

elle correspond à la dissémination de l’infection localement ou bien par voie sanguine et survient à l’occasion d’un élément déclenchant, à partir du foyer de primo-infection, environ 3 à 6 mois après.

Les symptômes généraux :

  • fièvre
  • perte d’appétit
  • amaigrissement
  • fatigue
  • sueurs nocturnes...

Les symptômes spécifiques :

  • pulmonaire (dyspnée, hémoptysie, toux, etc)
  • neurologique et méningée (méningite tuberculeuse: céphalées et raideur de nuque, troubles psychiques...)
  • abdominale (douleurs abdominales, diarrhées...)
  • cardiaque (signes de péricardite)
  • urinaire (dysurie, douleurs lombaires ...)
  • osseuse (mal de Pott = spondylodiscite tuberculeuse, tumeur blanche du genou, atteinte de la hanche)
  • ganglionnaire (adénopathies)

 

DIAGNOSTIC

Il repose sur:

  • radiographie pulmonaire: ganglions et caverne ou in lnfiltrat suggestif (lobes supérieurs),
  • expectorations: identification de BK,
  • biologie : syndrome inflammatoire élevé...,
  • ponction lombaire: en cas de suspicion de méningite tuberculeuse,
  • intra-dermo réaction (IDR) ou test à la tuberculine: injection intradermique de 0.1ml de tuberculine (flacon au frigo), la lecture se fait 48 à 72h après l’injection.

Une IDR est positive si l’induration est supérieure à 5mm chez le patient immunodéprimé et 9 mm chez la personne en bonne santé.

Une IDR positive signifie que le sujet a été en contact avec des BK virulents ou des bacilles non pathogènes du vaccin BCG mais ne signifie pas nécessairement que le sujet présente la maladie. La lecture de l’IDR est un acte médical.

 

TRAITEMENT ET SURVEILLANCE

Le traitement curatif repose sur une association de 4 antibiotiques : 

Les médicaments sont pris le matin à jeun en une seule prise sauf pour le Tébrazid qui se prend au moment des repas.

Le traitement dure au moins six mois. Selon les cas, au bout de 2 mois on réduit à une bithérapie (nicotibine, rifadine).

La compliance au traitement est fondamentale pour prévenir l’apparition de tuberculose à bacilles résistants.

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Malaria / Paludisme

Malaria / Paludisme

DÉFINITION ET MODE DE TRANSMISSION:

Le paludisme (du latin paludis : marais) aussi appelé la malaria (de l’italien malaria : mauvais air) est une parasitose due au Plasmodium.

Il existe 4 formes de paludisme liées à des parasites différents:

  • Plasmodium vivax,
  • Plasmodium malariae,
  • Plasmodium ovale,
  • Plasmodium falciparum, qui est responsable de malaria sévère et mortelle.

 

TRANSMISSION

La maladie est transmise aux humains par la piqûre d’un moustique infecté, l’anophèle femelle. Ce moustique pique surtout pendant la soirée et la nuit.

Le paludisme nécessite 3 acteurs :

  • le parasite : Plasmodium,
  • le moustique : l’anophèle femelle,
  • l’homme.

 

Le cycle de la malaria :

  1. Le cycle s’enclenche lorsqu’une anophèle femelle, dont les glandes salivaires contiennent une forme de parasite appelée sporozoite, pique l’homme et injecte à sa victime quelques sporozoites.
  2. Ces sporozoites circulent au sein de l’organisme humain, dans le foie, le sang, se multiplient et évoluent vers une forme sexuellement prédéterminée: les gamétocytes. Ces gamétocytes, présents dans la circulation sanguine de la personne infectée, sont infectieux pour le moustique qui viendra la piquer lors de son prochain repas sanguin.
  3. A ce stade, au sein de l’organisme du moustique, un nouveau cycle de transformation s’effectue jusqu’à constitution d’oocystes. Parvenus à maturité, ces oocystes libèrent des sporozoites qui migrent dans les glandes salivaires du moustique.
  4. Ces sporozoites seront transmis à l’homme lors d’un prochain repas de l’insecte. Le cycle est ainsi bouclé.

 

SYMPTÔMES

Les premiers signes sont semblables à ceux de la grippe :

  • fièvre,
  • douleurs musculaires, céphalées,
  • fatigue,
  • nausées, vomissements,
  • diarrhées,
  • toux...

Puis apparition de cycles typiques «l’accès palustre» :

  • frissons intenses avec montée progressive de la température,
  • puis fièvre élevée à 40° avec peau sèche et brûlante,
  • puis sueurs abondantes en même temps que chute de la température.

Ces accès se répètent tous les 2 jours (= fièvre tierce) ou tous les 3 jours (= fièvre quarte) selon l’espèce de Plasmodium responsable.

En cas d’absence de traitement, il peut survenir une complication grave «l’accès pernicieux» qui est une urgence avec un pronostic vital :

  • obnubilation, coma,
  • convulsions,
  • ictère,
  • atteinte rénale,
  • collapsus cardio-vasculaire,
  • œdème pulmonaire...

La gravité de la maladie varie selon l’espèce de plasmodium en cause. Le plasmodium falciparum donne lieu à la maladie la plus aigue.

 

DIAGNOSTIQUE

Le diagnostic est réalisable en urgence : mise en évidence du parasite dans le sang dans le frottis sanguin ou goutte épaisse (prise de sang : tube mauve EDTA 5ml).

 

INCIDENCE ET RÉPARTITION GÉOGRAPHIQUE

La malaria fait partie des maladies les plus meurtrières dans le monde et touche chaque année entre 400 et 500 millions de personnes, la plupart se trouvent en Afrique.

C’est la première cause de mortalité des enfants de moins de 5 ans en Afrique, les femmes enceintes dans les zones endémiques, sont aussi particulièrement touchées car le placenta constitue une cible ou les parasites peuvent s’accumuler. La maladie survient la plupart du temps dans les régions chaudes et humides, les régions tropicales et subtropicales de la planète.

Un retour en force de la maladie est à signaler en Europe, dû aux migrations des populations et à l’augmentation des voyages.

Il a été décrit des cas de paludisme des aéroports (moustiques transportés dans la soute à bagages d’un avion en provenance d’un pays tropical).

 

TRAITEMENT PRÉVENTIF

Deux mesures sont importantes dans la prophylaxie du paludisme :

  1. La protection contre les piqûres de moustiques
  2. La médication antipaludéenne

Protection contre les moustiques :

  • porter des vêtements couvrant le plus de peau possible (chemise à manches longues et pantalons de couleur claire, chaussures fermées),
  • imprégner les habits d’un insectifuge contenant 0,5 % de perméthine,
  • utilisation de moustiquaires pour les fenêtres et les lits,
  • appliquer un insectifuge sur la peau exposée toutes les 4 à 6 heures lors de sorties dans la soirée et la nuit.

 

Prophylaxie antipaludéenne :

Cette médication est prescrite par un médecin sécialiste en médecine des voyages et doit être prise avant le départ en zone à risque.

 

Un traitement approprié est prescrit selon plusieurs critères :

  • l’itinéraire du voyage,
  • l’état de santé du voyageur,
  • la pharmaco résistance des traitements (chloroquinorésistance des parasites dans certaines régions). 

TRAITEMENT CURATIF

Dès le diagnostic confirmé, un traitement doit être institué en urgence.

Accès palustres simples :

  • Lariam 6cp en 3 prises espacées de 8 h (3cp 1ère prise puis 2cp 2ème prise puis 1 cp 3ème prise).
  • Malarone 4cp/jour 3 jours de suite.

 

Accès palustres pernicieux > transfert en réanimation :

  • Quinine IV (1,5mg/kg/j) pendant 5 jours.

 

Toute fièvre au retour des tropiques doit être considérée à priori comme une malaria jusqu'à preuve du contraire. 

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1st Meeting on Medical aspects in HANDBALL

1st Meeting on Medical aspects in HANDBALL

Samedi 10 septembre 2016 à partir de 8h15 dans le Hall Omnisports à Crauthem.

 

Modération

Dr Christian Nührenbörger - Jérôme Pauls

 

Progamme

  • 08h30: Mot d’accueil - Dr Romain SCHOCKMEL; Président FLH
  • 08h45: Orthopädische Aspekte im Handball (D) - Dr Christian NUEHRENBOERGER, CHL Eich
  • 09h15: Prévention de blessures au Handball (L) - Jérôme PAULS; PT; CHL Eich
  • 09h45: Pause Café
  • 10h15: Kopfverletzungen im Handball: Management und Return-to-Sport Kriterien (D) - Dr Christophe SCHIFFER; Currenta Gmbh; Leverkusen
  • 10h45: FAQ: Verletzungsprävention aus Sicht der Sportler und Trainer. (D/F/L) - Nikki JUNG - Alain POECKES - Frank LINK - Michel SCHEUREN - Jeff DECKER
  • 11h30: Conclusions (F) - Dominique GRADOUX; Directeur technique FLH
  • 11h40: Pause Midi
  • 12h30:
    • TP1: Prévention des blessures d’épaule: J. Pauls - D. Gajic
    • TP2: Prévention des blessures des membres inférieurs: L. Wennig - B. Moes
    • TP3: Evaluation des athlètes au terrain: G. Hendel - A. Urhausen
    • TP4: TIPPS.lu: Trainings- und Verletzungsüberwachung: Prof Dr D. Theisen - E. Besenius
  • 14:00: Clôture du Meeting

 

Prix d’entrée: 10 € 

  • Le catering est inclus dans le prix d’entrée
  • Veuillez prendre des affaires de sport pour la partie pratique
  • Validation du Meeting dans le cadre des formations des entraîneurs diplômés

 

Inscription jusqu’au 28 août 2016: dominique.gradoux@orange.fr

Journée de la recherche médicale

Journée de la recherche médicale

Venez découvrir la recherche médicale à travers des présentations et des workshops interactifs

A quoi sert la recherche médicale ? Quels en sont les différents types ? Quelles sont les avancées en matière de recherche contre le cancer, contre les maladies cardio-vasculaires, contre la maladie de Parkinson ? A quoi sert la recherche en médecine du sport ? Comment identifier et traiter les allergies ?

Les médecins du CHL, les chercheurs du Luxembourg Institute of Health et de l’Université du Luxembourg répondent à ces questions et à de nombreuses autres le mercredi 26 octobre 2016, lors de la seconde Journée de la Recherche Médicale.

 

Lieu:

Centre Hospitalier de Luxembourg, 4, rue Ernest Barblé, L-1210 Luxembourg.

 

Date et horaires:

Mercredi 26 octobre 2016 de 9h00 à 18h00

 

Programme provisoire:

  • Matinée: une visite guidée de la recherche clinique, suivi de workshops en recherche clinique (rôle des infirmiers de recherche clinique en oncologie en milieu hospitalier, la recherche clinique expliquée aux lycéens, le rôle de la biobanque, la recherche en soins au CHL).
  • Après-midi: interventions de médecins et de chercheurs sur leurs recherches concernant la maladie de Parkinson, la médecine du sport, les maladies cardiovasculaires, la neurologie fonctionnelle, le cancer, les allergies.
  • Fin de journée: remise des prix « recherche » du CHL, récompensant les meilleurs travaux 2015 en recherche clinique, fondamentale, soignante, et junior.

L’accès aux différentes présentations est ouvert à tous sur inscription.

 

Informations et inscriptions:

www.jrm.lu - tania.zamboni@lih.lu - Tél : +352 26 970 800 

 

Logistique:

Les places de parking disponibles au CHL étant en nombre limité, les organisateurs conseillent l’utilisation des Park and Ride et des transports en commun. 

Symposium de formation en Oncologie: Soigner aujourd'hui...envisager demain!

Symposium de formation en Oncologie: Soigner aujourd'hui...envisager demain!

Le GSO asbl (Groupe de Soignants en Oncologie) a le plaisir de vous inviter à son symposium de formation en Oncologie dont le thème sera cette année: Soigner aujourd'hui...envisager demain!

 

 

Retrouvez les PDF des présentations de la journée ci-dessous:

 

Progamme:

  • 08H00: VISITE DES STANDS DE NOS SPONSORS
  • 09H00: Allocution de bienvenue - Jérôme GRAAS, Administrateur GSO
  • 09H15: Les situations rares en oncologie - Dr Serge MEYER, Oncologue Médical, Centre Hospitalier Emile Mayrisch (CHEM - Esch/Alzette)
  • 09H45: Le Sarcome: la tumeur aux multiples facettes - Dr Pascal PIERRE, Chef de Service Oncologie, Vivalia - Cliniques Sud Luxembourg
  • 10H15: Immunothérapie: nouvelle alternative aux thérapies systémiques - Dr Lynn ROB, Oncologue Médicale, Hôpitaux Robert Schuman Luxembourg - Zithaklinik
  • 10H45: PAUSE CAFÉ ET QUIZZ AUX STANDS
  • 11H15: Les thérapies ciblées: gestion et conséquences des effets secondaires - Dr Marie-Pascale GRAAS, Chef de Service Oncologie, CHC - Clinique St Joseph Liège
  • 11H45: Le cancer et les maladies chroniques : quelle vie pour le patient au quotidien? - Dr Catherine BOISANTE, Directrice Médicale, Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL)
  • 12H30: REPAS, DESSERT ET CAFÉ SUR LES STANDS DE NOS SPONSORS + 2E PARTIE DU QUIZZ
  • 14h00: L'oncologie en 2030 - Dr Guy BERCHEM, Oncologue Médical, Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL)
  • 14h35: Le suivi du patient sous traitement per os - Claudia NUNES da Costa, Carole JEITZ, Coordinatrices tumeurs solides, Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL)
  • 15h10: PAUSE CAFÉ ET QUIZZ AUX STANDS
  • 15h20: Les multiples visages de la fatigue liée au cancer - Dr Joseph KERGER, Oncologue Médical, Institut Jules Bordet Bruxelles
  • 15h55: Les cheminements cliniques en oncologie - Marie STEVENS, Coordinatrice Itinéraire Clinique, CHC - Clinique St Joseph Liège
  • 16H30: Clôture - Jérôme GRAAS, Administrateur GSO

 

Lieu:

L'évènement se déroulera à l'amphithéâtre du Centre Hospitalier de Luxembourg, 4 rue Barblé, L-1210 Luxembourg.

 

Renseignements:

Pour tout renseignement complémentaire, veuillez vous adresser à Jeanique Dabe:
E-mail: gso.symposium@gmail.com

 

Nos partenaires:

 

Comité GSO 2016:

 

Support:

Le CHL publie son rapport 2015

Le CHL publie son rapport 2015

Le rapport annuel 2015 souligne les différentes facettes du dynamisme du CHL, garants de l’accomplissement de nos missions d’établissement public au services des patients et de la société luxembourgeoise.


Focus 2015

L’année 2015 a notamment été marquée par l’engagement et la dynamique des équipes du CHL autour de la mise en œuvre du Plan National Cancer. La prise en charge de patients atteints d’un cancer réclame une démarche interdisciplinaire, ainsi que des adaptations constantes aux nouvelles connaissances scientifiques. Les orientations stratégiques du CHL contribuent activement à faire progresser les compétences autour du dépistage, du suivi des patients pendant et après le cancer, de la recherche et de l’enseignement en cancérologie.
La mobilisation des équipes a également permis l’ouverture de la nouvelle Maternité en août 2015 dans le respect des délais et des budgets. En reliant les bâtiments de la KannerKlinik et de la nouvelle Maternité, le concept de centre Mère-Enfant a pu prendre vie. Ce dernier a été longuement réfléchi et vise la meilleure prise en charge possible de la femme, des enfants et des familles qui sont accueillis, en dispensant des soins efficients et de haute qualité.

Démarche Qualité

La démarche qualité, engagée par le CHL depuis de nombreuses années, a été illustrée 2015 par l'obtention de la certification ISO pour le laboratoire de biologie clinique et de la stérilisation, et le renouvellement de la certification du service de dialyse, de l'unité de sénologie et du Centre National PET. 
Le CHL met la sécurité de ses patients au cœur de ses préoccupations. C’est dans ce contexte que le CHL a organisé en 2015 la première édition de la « semaine de la sécurité hospitalière ». Concept d’apprentissage innovant, le CHL espère par ailleurs que la semaine de la sécurité hospitalière s’étend sous peu à tous les établissements de soins du pays.

Dans les années à venir, le CHL poursuivra et intensifiera encore davantage ses efforts de la sécurisation des soins au sein de son institution, ceci en vue de l’obtention en 2018 de l’accréditation hospitalière selon le référentiel JCI (Joint Commission International).

Amélioration continue au bénéfice du patient

Tous les projets réalisés par les équipes du CHL en 2015, qu’ils soient d’ordre médical, scientifique, académique ou autre, sont le fruit d’un travail marqué par une volonté d’amélioration continue des pratiques au bénéfice des patients. 
Le rapport 2015 relèvera e.a. l’introduction au CHL de nouvelles techniques de prise en charge, l’acquisition de nouveaux équipements pour un confort maximal et une sécurité optimisée du patient, ou encore les efforts déployés pour améliorer la communication externe envers le patient (nouveau site internet, présence accrue sur les réseaux sociaux). 

L’exercice 2015 aura également été une année transitoire pour préparer la mise en place de la garde 50/50 en région centre, l’acquisition d’un logiciel informatique de gestion du dossier patient, ainsi que de la planification du projet de construction du nouveau bâtiment CHL Centre.

Quelques chiffres clés

En 2015, le CHL a réalisé quelques 27 580 hospitalisations stationnaires, 5 040 hospitalisations en hôpital de jour (+11% par rapport à 2014) et 496 125 prises en charge en ambulatoire dans les consultations et les secteurs médico-techniques, représentant quelques 160 026 patients traités et suivis sur l'année. 
Le nombre d’admissions en urgence a, lui aussi, augmenté sur les sites CHL Centre et CHL KannerKlinik pour s’établir à un total de 67 867 admissions (+4,9% par rapport à 2014).

Une des missions que le législateur a conférée au CHL est d’être lieu d’enseignement et de recherche. Fier de cette activité, le CHL a pu notamment accueillir, en 2015, une centaine de médecins en voie de spécialisation et plus de 700 stagiaires en soins. Au niveau de la recherche, une centaine d’études cliniques ont été en cours en 2015 et les médecins du CHL ont participé à la publication de 242 publications scientifiques.

Le CHL est aussi un acteur socio-économique important au Luxembourg. L’année passée, le CHL a employé 2 146 personnes (2014 : 2111), soit 1 788 postes à temps plein. Les effectifs ont ainsi très légèrement augmenté pour répondre à la hausse de l’activité hospitalière.

En cohérence avec les années précédentes, le CHL affiche en 2015 une bonne santé financière qui contribue à consolider et à développer ses activités. Les comptes annuels présentent un bénéfice de 4,2 mio €, alors que l’offre médicale a été étendue et les investissements dans les équipements et dans les infrastructures se sont poursuivis. 


Le rapport annuel est à votre disposition aux réceptions du CHL, respectivement sur notre site internet www.chl.lu.

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