La mammographie

La mammographie

La mammographie est une radiographie du sein permettant l’analyse du tissu mammaire par le radiologue.                      

Cette mammographie vous est proposée soit dans le cadre de la campagne de dépistage organisée par le Ministère de la Santé, soit par votre médecin.

Comment se préparer à l’examen ?

Voici quelques conseils qui peuvent faciliter le déroulement de la mammographie :

  • S’assurer de l’absence de grossesse : Si vous pensez être enceinte, il est important de le signaler à la personne qui vous prend en charge.
  • Période du cycle : Il est conseillé de faire cet examen pendant la 1ère partie du cycle menstruel, c’est à dire les 10 premiers jours après les règles.
  • Soins du corps : Evitez toute application de déodorant, de crème, d'huile, de poudre ou de parfum sur vos seins ou sous vos aisselles.  Ces produits induisent de fausses images sur la radiographie pouvant être confondues avec des lésions.
  • Vêtements et bijoux : Il est préférable de porter des vêtements faciles à enlever sur le haut du corps. Evitez de porter des colliers ou autres bijoux qui pourraient gêner l’examen.
  • Anciens examens : Pensez à ramener vos anciens clichés de mammographie. Ils permettront une comparaison des images.
  • Prescription médicale : N’oubliez pas votre ordonnance médicale. Elle est indispensable pour la réalisation de votre examen ainsi que pour le remboursement par la CNS (Caisse Nationale de Santé).

Comment se déroule l’examen ?

L’examen se passe dans l’Unité de Sénologie et dure environ 15 minutes.

  • Avant de commencer l’assistante vous posera quelques questions et vous expliquera le déroulement de l’examen.
  • L’examen est réalisé torse-nu.
  • L’examen est très peu irradiant car il est réalisé avec des doses de rayons X très faibles.
  • La soignante réalise plusieurs clichés. Pour cela elle comprime légèrement le sein entre 2 plaques. Cette compression peut occasionner un certain inconfort mais ne dure que quelques secondes. Si la douleur est trop forte, n’hésitez pas à le signaler.
  • La compression est nécessaire pour étaler la glande et obtenir une meilleure image du sein. Elle permet aussi de réduire les mouvements et de diminuer la quantité de radiations.
  • Il est indispensable de ne pas bouger.
  • L’examen comporte au minimum 2 clichés de chaque sein.

Que se passe-t-il après la mammographie ? 

Dans le cadre du dépistage organisé par le Ministère de la Santé : 
4 clichés sont réalisés. Une fois l’examen terminé, vous pouvez rentrer chez vous. 

Dans le cadre d’une mammographie de diagnostic (demandée par votre médecin) :
Si le radiologue le juge utile, l’examen peut être complété par des clichés supplémentaires et/ou une échographie. 

Le compte-rendu sera envoyé au médecin demandeur de l’examen. Les images et le compte-rendu seront disponible dans votre DSP (Dossier de Soins Partagé). 

Implants mammaires ?

Si vous porter des implants mammaires (prothèses) il est important de le signaler à l’assistante.

Celle-ci prendra soin d’utiliser un programme adapté et appliquera une compression minimale sur les prothèses.

De plus elle réalisera des clichés complémentaires appelés «Incidence d’Ecklund» pour mieux voir la glande.

N’hésitez pas à poser toutes les questions qui vous préoccupent à l’équipe de sénologie.

 

Clichés de face : sein droit et sein gauche

Clichés obliques : sein droit et sein gauche

 

Réf. : Flyer Mammographie Mars 2025

Services associés
L'échographie mammaire

L'échographie mammaire

Technique :

 

Indications :

  • En première intention chez les patientes jeunes
  • En complément de la mammographie lorsque celle-ci met en évidence une anomalie
  • Chez les femmes enceintes, car les ultrasons sont sans danger pour la grossesse
  • Permet de guider le radiologue lorsqu’il réalise un prélèvement de tissu mammaire
  • Chez les patientes porteuses de prothèses mammaires

Contre-indications :

Pas de contre-indications particulières. 

Services associés
Natacha Lutringer

Natacha Lutringer

Madame Natacha Lutringer est soignante chef d'unité de la Sénologie et de la Radiologie pédiatrique 

Tel. : +352 4411-8435
Email : lutringer.natacha@chl.lu
20377 Natacha Lutringer
CHL - CHL Maternité

Mammographie - Sénologie

Fax :
  +352 4411-7630
CHL - CHL KannerKlinik

Radiologie Pédiatrique

Fax :
  +352 4411-2254
CHL - CHL

Direction des Soins

Fax :
  +352 4411-6902
L'anticoagulation orale par antivitamines K (AVK)

Pourquoi effectuer une surveillance biologique (prise de sang) ?

La même dose d’antivitamine K ne provoque pas le même effet (ralentissement de la coagulation) chez tout le monde. Il est donc nécessaire de rechercher la dose appropriée pour chaque personne. Une fois la dose appropriée déterminée, une surveillance régulière est indispensable car de nombreux paramètres peuvent diminuer ou augmenter l’effet du médicament: alimentation, médicaments, autres…

Une surveillance biologique régulière, au minimum mensuelle, est indispensable.

 

Comment réaliser cette surveillance biologique ?

Cette surveillance s’effectue par des prises de sangs régulières, pour lesquelles il n’est pas nécessaire d’être à jeun, et votre résultat biologique s’exprime en INR. La fréquence des prises de sang dépend de l’équilibre du traitement et sera précisée après chaque résultat.

En pratique : la valeur de votre INR est notée chaque fois dans le carnet de surveillance ainsi que votre dose de médicament à prendre. Ce carnet de surveillance a pour but de vous informer, mais aussi de vous aider, ainsi que votre médecin pour le suivi et l’adaptation des doses.

 

Comment prendre votre médicament ?

Il est préférable que la prise se fasse le soir, toujours dans les mêmes conditions par exemple pendant le repas. Dans tous les cas, l'heure de la prise médicamenteuse doit être fixe.

En cas d’oubli d’une prise : continuez votre traitement à la même dose et aux mêmes horaires, consultez votre médecin. NE DOUBLEZ JAMAIS LA DOSE lors de la prise suivante.

 

Le principal effet indésirable de ce traitement est le saignement et l’allongement du temps de saignement, par exemple: lors du brossage des dents, saignement du nez, en cas de chutes ou de blessures. Il y a également le risque de saignement interne qui peut se manifester par exemple par céphalées d’apparition brutale et inhabituelle, pâleur, fatigue inhabituelle.

Quelques conseils pratiques :

  • Ne vous brossez pas les dents trop énergiquement et choisissez une brosse à dents souple. Le saignement gingival s’arrête souvent spontanément, sinon comprimez la zone qui saigne à l’aide d’une compresse
  • Pour vous raser, utilisez de préférence un rasoir électrique
  • Attention quand vous vous coupez les ongles
  • Attention aux chutes, aux coups et aux blessures car le temps de saignement est allongé. Vous devez donc appliquer une compression sur la blessure et de la glace sur la contusion afin d'éviter l'apparition d'un hématome

En cas de problème ou de persistance du saignement ou si sang dans les selles (voire selles noires) ou/et les urines veuillez contacter immédiatement :

  • votre médecin traitant ou la Clinique d’AntiCoagulation (CAC) : Tél : 4411-4125 (jours ouvrables, du lundi au vendredi de 7h30 à 14h30)
  • ou en dehors des heures de bureau le service d'hospitalisation de cardiologie : Tél: 4411-4443

Il est impératif de signaler que vous prenez des anticoagulants oraux afin que les précautions nécessaires soient prises avant le rendez-vous : dentiste, intervention chirurgicale, examen invasif comme une infiltration articulaire, une coronarographie, une gastro- et coloscopie,…

  • Pendant la durée du traitement par anticoagulants oraux, les injections intramusculaires sont INTERDITES et une autre voie d'administration devra donc être choisie (VACCINATIONS) : prévenez l’infirmier/ière.
  • Evitez tout sport de contact violent (Judo, VTT, ski,…).
  • Si vous désirez être enceinte, consultez d’abord votre cardiologue.

 

Quels médicaments peuvent interagir avec les antivitamines K ?

Certains médicaments, y compris certaines plantes, peuvent interagir avec les antivitamines K :

  • Soit en augmentant leur effet et conduisant à un risque hémorragique : INR trop élevé.
  • Soit en diminuant leur effet et entraînant une récidive de thrombose  : INR trop bas.

L’ajout d’un nouveau médicament ou une modification dans votre traitement habituel peut nécessiter une adaptation de la dose des antivitamines K ; c’est pourquoi, il ne faut jamais prendre de nouveau médicament ou changer votre traitement en cours sans l’accord de votre médecin.

Exemples de médicaments contre indiqués ou déconseillés : Aspirine et dérivés (ASPEGIC®, ASPRO®, PERDOLAN COMPOSITUM®, SEDERGINE FORTE®; ALKA-SELTZER®; GRIPPAL+C®…); les Anti-inflammatoires par voie orale (VOLTAREN®; DICLOFENAC®; BRUFEN®; IBUPROFEN®; CATAFLAM®; FELDENE®; CELEBREX®, ARCOXIA®…) ; la plante Millepertuis (=Johanniskraut, Herbe de la St Jean), certains traitements locaux contre les mycoses (Miconazole - DAKTARIN®). 

  • Pour la prise en charge des douleurs prenez du paracétamol (DAFALGAN®, PERDOLAN®, PANADOL®,...). Si traitement de plusieurs jours, veuillez contacter votre médecin traitant.
  • Signalez au pharmacien de ville que vous êtes sous antivitamines K pour tout achat avec ou sans ordonnance.
  • Certains antibiotiques peuvent aussi modifier l’INR et des contrôles plus fréquents de votre INR deviennent nécessaires.
  • Ne prenez pas des compléments alimentaires, vitamines ou minéraux de votre propre initiative sans avis médical.

 

Faut-il modifier son régime alimentaire sous antivitamines K ? 

Non, il n’est pas nécessaire de modifier ses habitudes alimentaires lorsqu’on est sous antivitamines K.

Toutefois certains aliments sont très riches en vitamine K, par exemple : foie, choucroute, chou, chou-fleur, choux de Bruxelles, brocoli, épinards, blettes, cresson et laitue. En théorie ces aliments peuvent diminuer l’effet de l’anticoagulant. En pratique, ils ne sont pas interdits, à condition de les répartir régulièrement dans l’alimentation et de les consommer sans excès de façon régulière.

Pendant la durée du traitement, la consommation d’alcool doit être réduite au strict minimum (ne pas dépasser 1 verre par jour). La ligne de conduite est donc simple :

  • Garder les mêmes habitudes alimentaires qu’avant l’instauration du traitement
  • Eviter de cumuler dans la même journée plusieurs aliments très riches en vitamine K (ex.: brocoli + foie)
  • L’impact sur l’INR d’une alimentation équilibrée, riche en légumes est faible. Lorsque l’on constate des petits changements lors d’une modification des habitudes alimentaires, la posologie du médicament sera ajustée en conséquence. Si vous êtes amené(e) à modifier vos habitudes alimentaires (par exemple lors d’un régime), pensez à effectuer rapidement un contrôle de l’INR

 

  • Veillez à toujours avoir une boîte d'avance à domicile.
  • Pour un contrôle plus précis de votre traitement, notez bien tous les jours dans votre carnet de surveillance quel dosage vous prenez.
  • Si vous êtes suivi à la Clinique de l'Anticoagulation, veillez à ne pas prendre votre anticoagulant oral avant d'avoir obtenu votre résultat INR.
  • En cas de départ en vacances, certaines règles peuvent être proposées :
    • Consultez votre médecin et faites contrôler votre INR avant de partir.
    • Emportez votre carnet précisant que vous êtes sous antivitamines K ainsi que votre carte de groupe sanguin, votre ordonnance et le numéro de téléphone de votre médecin traitant ou de la CAC.
    • Prévoyez une quantité suffisante de médicaments pour la durée du séjour.
    • S’il y a un décalage horaire, informez-en votre médecin afin qu’un calquage de la prise des médicaments sur l’horaire local puisse être faite.
Services associés
Journée de la Recherche médicale

Journée de la Recherche médicale

Version Française :

A quoi sert la recherche médicale ? Quels en sont les différents types ?
Quelles sont les avancées en matière de recherche contre le cancer, contre les maladies cardio-vasculaires, contre la maladie de Parkinson?
A quoi sert la recherche en médecine du sport ? Comment traiter la douleur ?

Les médecins du CHL, les chercheurs du Luxembourg Institute of Health et de l’Université de Luxembourg répondent à ces questions et à de nombreuses autres le mercredi 28 octobre 2015, lors de la Journée de la Recherche Médicale.

Lieu : Centre Hospitalier de Luxembourg
Date et horaires : Mercredi 28 octobre 2015 de 10.00 à 18.00 (point presse à 9.00)

Programme provisoire :

• Matinée : une visite guidée de la recherche clinique, suivi de workshops en recherche clinique (rôle des infirmiers de recherche clinique en oncologie en milieu hospitalier, la recherche clinique expliquée aux lycéens, rôle de la biobanque)
• Après-midi : interventions de médecins et de chercheurs sur leurs recherches concernant la maladie de Parkinson, la médecine du sport, les maladies cardiovasculaires, la neurologie fonctionnelle, le cancer, les maladies chroniques et leur psychologie

• Fin de journée : table ronde « recherche médicale et médecine de pointe », animée par Joseph Rodesch (Mr Science) avec la participation de représentants des ministères de la Santé et de la recherche et de l’enseignement supérieur, des directeurs d’hôpitaux du Luxembourg, de représentants des associations de patients.

L’accès aux différentes présentations est ouvert à tous sur inscription.

Logistique : les places de parking disponibles au CHL étant en nombre limité, les organisateurs conseillent l’utilisation des Park and Ride et des transports en commun. 

Informations et inscriptions : www.jrm.lu - tania.zamboni[at]lih.lu - Tél : +352 26 970 800 


Deutsche Version :
 

Entdecken Sie die medizinische Forschung

anhand von Vorträgen und interaktiven Workshops

In Zusammenarbeit mit:

Wozu dient die medizinische Forschung? Welches sind die verschiedenen Formen der medizinischen Forschung? Welche Fortschitte gibt es in der Forschung gegen Krebs, gegen Herzkreislauferkrankungen, gegen Parkinson? Worin besteht die Forschung in der Sportmedizin?
Wie behandelt man den Schmerz?

Im Laufe des “Tag der medizinischen Forschung” werden die Ärzte des CHL, die Forscher des Luxemburg Institute of Health und der Universität Luxemburg auf diese Fragen, sowie viele andere am Mittwoch, 28. Oktober 2015 antworten.

Ort: Centre Hospitalier de Luxembourg
Datum und Uhrzeit: Mittwoch 28. Oktober 2015 von 10h00 – 18h00 (Pressekonferenz um 09h00)

Vorläufiges Programm:

• Vormittag: eine Führung durch die klinische Forschung, gefolgt von Workshops in der klinischen Forschung (Funktion der Forschungs – Krankenschwester in der Onkologie im Krankenhaus, Erklärung der klinischen Forschung für Schüler, die Rolle der Biobank).
• Nachmittag: Präsentationen von Ärzten und Wissenschaftlern über ihre Forschung in den Bereichen Parkinson , Sportme- dizin, Herzkreislauferkrankungen, funktionelle Neurologie, Krebs, chronische Krankheiten sowie Ihre Psychologie.

• Am späten Nachmittag: Gesprächsrunde zum Thema” Medizinische Forschung und fortschrittliche Medizin », moderiert von Joseph Rodesch (Mr Science) mit Beteiligung von Vertretern der Ministerien für Gesundheit, Forschung und höhere Bildung, Direktoren Luxemburger Krankenhäuser, Patientenorganisationen.

Der Zugang zu den verschiedenen Präsentationen und Workshops ist offen. Eine Voranmeldung ist jedoch erwünscht.

Logistik: Da die Parkingmöglichkeiten am CHL begrenzt sind, raten die Organisatoren auf Park and Ride sowie öffentliche Verkehrsmittel zurückzugreifen 

Informationen und Anmeldung: www.jrm.lu - tania.zamboni[at]lih.lu - Tel : +352 26 970 800 

Pharmacie Clinique

Pharmacie Clinique

Depuis février 2012, un pharmacien clinicien est présent plusieurs demi-journées par semaine dans le service de gériatrie (CE3A).

Ses principales missions sont d'assurer en collaboration avec l'équipe médico-soignante :

  • l'analyse pharmaceutique des prescriptions (recherche interactions médicamenteuses, suivi des critères START-STOPP...) ;
  • l'aide au choix thérapeutique par rapport aux médicaments du FT, aux critères START-STOPP, aux rapports coût/efficacité ;
  • la surveillance des effets indésirables et assurer les notifications de pharmacovigilance ;
  • la rédaction des plans de prises ou d'administration ;
  • la rédaction des protocoles thérapeutiques et de soins ;
  • les conseils et les informations liés aux traitements médicamenteux lors de la sortie des patients.

Par ailleurs, cette activité est assurée par notre pharmacie sur le site de l'Hôpital Intercommunal de Steinfort (HIS) et du Centre de Réhabilitation du Chateau de Colpach (CRCC).

Depuis 2014, des pharmaciens sont également présents plusieurs demi-journées par semaine en Pneumologie (U40) et en Cardiologie (U43).

Depuis 2017, des pharmaciens sont également présents plusieurs demi-journées par semaine en chirurgie vasculaire et traumatologie (U46), neurochirurgie (U56) et en chirurgie générale (U30).

Depuis 2020, des pharmaciens sont également présents plusieurs demi-journées par semaine en soins intensifs adultes (U33) et en réanimation pédiatriques et néonatologie (U63-67).

Depuis 2023, des pharmaciens sont également présents plusieurs demi-journées par semaine dans le sunités d'onco-hématologie adulte (U23 et U26).

La pharmacie compte actuellement 4 pharmaciens cliniciens.

 

Assistance Pharmaceutique :

L'assistance pharmaceutique comprend :

  • le traitement et la documentation de questions pharmaceutiques provenant des services cliniques ;
  • la réalisation de supports documentaires d'aide à la prescription et/ou à l'administration ;
  • la collaboration à la rédaction et/ou à la validation de protocoles de bon usage des produits pharmaceutiques ;
  • la mise en place de formations sur les produits pharmaceutiques.
Services associés
Madame Isabelle Larosche

Madame Isabelle Larosche

Pharmacien – secteur Production

Isabelle Larosche a fait ses études de pharmacie à l’Université René Descartes Paris V. Elle s’est spécialisée en toxicologie à travers un DEA en 2004 et elle a obtenu son Docteur en Toxicologie en 2008 de l’Université Paris V.   

Elle a rejoint le Centre Hospitalier de Luxembourg en 2011 en tant que responsable de la Production.

Elle est le secrétaire du groupe Nutrition.

Tel. : +352 4411-8477
20377 Isabelle Larosche
CHL - CHL Centre

Pharmacie

Fax :
  +352 44 12 09

Horaires : 
Lundi au vendredi : 8h-17h30
Samedi : 9h-13h

Madame Valerie Arnould

Madame Valerie Arnould

  • Pharmacien – secteur Production

Mme Valérie ARNOULD a fait ses études de pharmacie suivie de la spécialisation en pharmacie hospitalière à l’Université Catholique de Louvain de 1994 à 2000.

Elle a rejoint la pharmacie du CHL en juillet 2000 et a occupé la fonction de pharmacien responsable de la production des chimiothérapies durant 15 ans. 

Depuis 2019, elle est responsable du dépôt de médicaments du centre de réhabilitation de Colpach. 

  • Tel. CHL : +352 4411-8880
  • Tel. CRCC : +352 2755-4636

 

20377 Valerie Arnould
CHL - CHL Centre

Pharmacie

Fax :
  +352 44 12 09

Horaires : 
Lundi au vendredi : 8h-17h30
Samedi : 9h-13h

Madame Gaelle Auquier

Madame Gaelle Auquier

  • Pharmacien – secteur Matériel médical

Mme Gaëlle AUQUIER est Diplômée de l’Ecole de Pharmacie en Sciences Pharmaceutiques à l’Université catholique de Louvain UCL, en Belgique, puis du DES Diplôme de Pharmacien spécialisé en Pharmacie Hospitalière, à l’Université catholique de Liège CHU, Belgique.

Elle rejoindra l’équipe du CHL en décembre 2004 pour développer et mettre en place une cellule matériel médical .

Pharmacien référent pour les blocs opératoires et les DMI, elle continuera sa spécialisation dans le domaine en suivant les cours à l’Université de Lille pour être diplômée en juin 2015 du D.U Dispositifs Médicaux Implantables.

Elle assure les remplacements et le suivi de dossiers pour les dispositifs médicaux stériles avec sec collègues du secteur Matériel Medical et des présences à la plate-forme Logistique de Bertrange. 

Tel. : 4411-8154
20377 Gaelle  Auquier
CHL - CHL Centre

Pharmacie

Fax :
  +352 44 12 09

Horaires : 
Lundi au vendredi : 8h-17h30
Samedi : 9h-13h

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