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Pour la première fois de son histoire, la Maternité G. D. Charlotte du Centre Hospitalier de Luxembourg a dépassé le cap des 2000 accouchements en un an. De plus en plus de patientes font ainsi confiance à notre structure pour le suivi de leur grossesse et la prise en charge de leur accouchement (+13% en 5 ans).
La Maternité G.D. Charlotte propose une offre de soins globale et complète: les consultations de gynécologie médicale et chirurgicale, le suivi des grossesses, l’accueil des urgences gynéco-obstétricales 24h/24, la prise en charge diagnostique et thérapeutique du couple stérile au Service National de Procréation médicalement assistée (PMA) et son laboratoire de fécondation in vitro (fiV). Cette offre s’appuie sur une équipe multidisciplinaire spécialisée.
Depuis 2000, la Maternité est labellisée Hôpital ami des Bébés et depuis 2010 Hôpital ami des mères. Ces labels répondent à un cahier des charges très complet et sont la reconnaissance d’une haute qualité de prise en charge des mamans et de leur bébé. L’accompagnement des grossesses à risque (moyen et haut risque) est l’une des spécificités de la maternité, en dehors du suivi des grossesses normales. De nombreuses patientes sont envoyées par leur gynécologue traitant de toutes les maternités du pays, pour une prise en charge de problèmes rares ou complexes.
La Maternité possède la seule unité de soins MIC (Maternal Intensive Care) du pays. Toutes les futures mamans dont la grossesse présente un problème peuvent être accueillies dans cette unité, à proximité directe de la salle d’accouchement, où les compétences et moyens nécessaires pour traiter les pathologies les plus graves sont concentrés.
La disponibilité et la proximité immédiate du Service National de Néonatalogie de la KannerKlinik offre une grande sécurité, en cas de problème pour le bébé. La présence permanente d’un pédiatre hautement qualifié permet de donner 24h/24 les meilleurs soins au nouveau-né, qu’il soit né à la date attendue ou qu’il soit grand prématuré.
Un nombre important des accouchées viennent de la Grande région (Moselle, Luxembourg Belge et région de Trèves).
Beaucoup de femmes sont frontalières (leur conjoint ou elles-mêmes travaillent au Luxembourg), d’autres sont transférées pour bénéficier des expertises et structures de notre maternité.
2014 sera la dernière année complète de fonctionnement dans les bâtiments actuels de la Maternité.
Le futur Centre Mère-Enfant, qui ouvrira ses portes en 2015, va permettre de concrétiser architecturalement et conceptuellement tout le travail commun de prise en charge des nouveaux-nés et de leurs mères, des enfants et des futures mamans.
Grâce aux installations de pointe et à l’expertise de ses spécialistes, le futur Centre Mère-Enfant proposera une prise en charge innovatrice et inter-disciplinaire:
Récemment, lors d’une cérémonie qui s’est tenue au CHL, des représentants de la Fondation Jean Think ont remis officiellement un chèque d’une valeur de plus de 37.000 € au Centre Hospitalier de Luxembourg et notamment à son service de Neurologie afin de soutenir des projets de recherche clinique appliquée au sujet de la maladie de Parkinson.
Au nom de la Direction du CHL, le Dr Nati a remercié Monsieur Schumacher, président de la Fondation Jean Think et tout le comité de la Fondation Think pour leur don généreux, ainsi que pour leur soutien continu de longue date.
Dr Nico Diederich, médecin neurologue au CHL et « ausserplanmässiger Professor » de neurologie à l’Université de Cologne, a présenté les études de recherche clinique appliquée, qui actuellement se déroulent au service de neurologie, ceci en étroite collaboration avec le LCSB (Luxembourg Centre for Systems Biomedicine) de l’Université de Luxembourg et l’IBBL (Integrated Biobank Luxembourg) et qui toutes s’intéressent à la maladie de Parkinson.
La maladie de Parkinson est en fréquence la deuxième maladie neurodégénérative. Le diagnostic clinique s’établit sur base de symptômes moteurs, tels que lenteur des mouvements, rigidité et tremblements. Cependant, au moment où ces symptômes sont clairement reconnus, la maladie a, hélas, déjà évolué depuis plusieurs années et une part importante des neurones dopaminergiques, responsables de la coordination des mouvements, a déjà disparu de manière irrévocable.
« À l’heure actuelle, il est impossible d’identifier la maladie de Parkinson avant que les patients ne présentent des symptômes moteurs évidents », explique Dr. Nico Diederich. « S’il existait un outil diagnostique permettant d’effectuer des tests à un stade précoce de la maladie de Parkinson, c’est-à-dire avant que la majorité des neurones dopaminergiques ne disparaissent, nous pourrions être à même de prendre des mesures préventives pour arrêter ou, au moins, freiner le processus de la maladie. Malheureusement, ce genre de tests n’existe pas encore.»
Grâce notamment au soutien de la Fondation J. Think, le Dr. Diederich peut désormais unir ses efforts à ceux des scientifiques du LCSB afin d’identifier des marqueurs biologiques et cliniques du stade précoce de la maladie de Parkinson. Dr. Diederich et ses collègues s’intéressent à des cellules du sang (plaquettes), de la peau et des échantillons de biopsie de l’intestin, prélevés dans le cadre de dépistage du cancer du colon. Déjà plus de quarante patients ou sujets-contrôle ont été recrutés. D’autres suivront durant les prochains mois.
Les scientifiques utilisent une puissante plateforme de microscopie ainsi que des tests électrophysiologiques subtils. Ces outils permettent l’étude de cellules vivantes et créent des images 3D au niveau cellulaire et même subcellulaire. « Il se pourrait que la maladie de Parkinson résulte d’un problème au niveau des mitochondries, nos fournisseurs d’énergie dans la cellule», ajoute le Dr Diederich.
La question du public est évidemment: quand est ce qu’il y aura la « percée du tunnel» ? «On est encore au tout début de notre projet. Ces études sont passionnantes, nous progressons- mais pas toujours comme prévu- et nous espérons fermement pouvoir contribuer de façon substantielle à l’avancée des connaissances dans ce domaine. Un diagnostic plus précoce devra se faire dans un avenir proche », conclut Dr. Diederich, optimiste à ce sujet, lors de la remise de chèque.
Mardi 29 avril 2014 s’est déroulée au Centre Hospitalier de Luxembourg la première édition du EDUCATION & RESEARCH DAY, en présence de M. Marc Hansen, Secrétaire d’Etat à l’Enseignement supérieur et à la Recherche. Cet événement a eu comme objectif de promouvoir l’ampleur et la qualité de l’enseignement et de la recherche clinique, translationnelle et fondamentale qui se font au Centre Hospitalier de Luxembourg.
En effet, depuis de nombreuses années, le CHL a une tradition scientifique et académique qui s’inscrit dans la logique de sa loi constitutive de 1975. Pour le CHL, l’enseignement et la recherche constituent un des éléments essentiels dans la recherche permanente de la meilleure qualité de soins..
Ces activités se font en association avec des partenaires académiques et scientifiques aussi bien luxembourgeois qu’internationaux. Elles constituent souvent, le lien translationnel avec les centres de recherche fondamentale.
Le bilan 2012-2013 fait état de 315 publications scientifiques de haute qualité et de 98 études cliniques en cours.
41 maîtres de stage sont activement impliqués dans la formation de la future relève médicale, et se sont occupés de 103 médecins en voie de spécialisation et de 147 étudiants de différentes facultés médicales.
L’un des objectifs de la journée était de remercier les médecins qui s’impliquent dans ces activités à côté de leur travail clinique. Le programme de la journée a été marqué par la présentation d’une dizaine de travaux scientifiques.
3 prix d’excellence ont été attribués:
Dr C. de BEAUFORT, pédiatre diabétologue CHL
Dr P. STAMMET, anesthésiste CHL
Cette journée d’échanges autour de projets de recherche dans les domaines les plus variés témoigne de la vivacité de la recherche au CHL qui se fait souvent en partenariat local ou transfrontalier.
La promotion de la recherche et de l’enseignement est l’une des priorités stratégiques du CHL.
>Luxembourg / Chicago, le 08 mai 2014. Des neuroscientifiques du Centre Hospitalier de Luxembourg et de l’Université du Luxembourg ainsi que du Rush University Medical Center à Chicago (Etats-Unis) ont réussi, pour la première fois, à identifier une partie des voies nerveuses responsables des troubles visuels fréquemment observés chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson. Leur approche novatrice „Perte de la vision aveugle“ a été publiée dans l’édition actuelle de la revue spécialisée „Brain“.
La „vision aveugle“ est un phénomène étrange, observé chez les personnes aveugles dont les aires visuelles corticales du cerveau ont été endommagées. Grâce au bon fonctionnement de certaines voies nerveuses, ces personnes restent quand-même capables de réagir à certaines informations visuelles, bien que celles-ci ne peuvent pas être transmises aux centres cérébraux supérieurs dédiés à la vision.
Pour expliquer ce phénomène, il est supposé qu’une petite quantité de l’information visuelle est néanmoins transmise inconsciemment à l’aide d‘ autres voies visuelles spécifiques.
Grâce à la vision aveugle, les personnes non-voyantes parviennent à localiser de façon subconsciente une source lumineuse, à tourner leurs yeux inconsciemment dans le bon sens et à deviner les émotions, tels que danger ou colère, manifestés par un visage. Tous les hommes disposent de ce système qui nous permet, presque comme un réflexe, de réagir rapidement et inconsciemment à des stimulations visuelles.
Les chercheurs regroupés autour du Dr Nico Diederich ont maintenant découvert qu’un bon nombre des troubles visuels observés chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson fonctionnent en sens contraire: alors que ces patients disposent d’une vision normale, ils sont ralentis dans les mouvements oculaires et ont des difficultés à suivre du regard des objets qui bougent. En outre, ces patients souffrent d’une baisse de la sensibilité au contraste ainsi que d’une capacité réduite d’analyser les émotions manifestées par un visage en face. En résumé, ces patients ont „perdu la vision aveugle“.
A l’aide de ce nouveau modèle explicatif, les chercheurs ont acquis des connaissances sur les aires cérébrales responsables de ces troubles visuels. Effectivement, certaines sont bien chargées de corps de Léwy, inclusions cellulaires typiques de la maladie. Ils ont démontré pour la première fois que ces troubles sont dus à des perturbations dans ces voies anciennes du point de vue ‚évolution’.
Un tiers des plus de 5 millions de patients de Parkinson dans le monde souffrent, outre les troubles déjà mentionnés, d’hallucinations visuelles. Souvent, il s’agit d’ “hallucinations de passage“, lors desquelles des stimuli visuels normaux provoquent chez le patient de brèves visions furtives d’animaux ou de personnes en mouvement. Les voies nerveuses concernées peuvent être les mêmes que celles responsables des troubles visuels illustrés ci- dessus. Les réactions ralenties ou inadéquates à des objets en mouvement affectent probablement aussi l‘aptitude à la conduite des patients parkinsoniens .
“Nous avons analysé tous les troubles visuels connus et les avons comparés à la vision aveugle. Suite à ces analyses, il s’est avéré que les problèmes de vision des patients de Parkinson doivent être dus en bonne partie au dysfonctionnement de ces anciennes voies visuelles. “, explique le Dr Nico J. Diederich, neurologue au Centre Hospitalier de Luxembourg et chercheur au „Luxembourg Centre for Systems Biomedicine“ de l’Université du Luxembourg, qui a co-rédigé cette publication avec les Dr Glenn Stebbins et Christopher et Dr G. Goetz (Rush University Medical Center) ainsi qu’avec le Dr Christine Schiltz (Université du Luxembourg). Les chercheurs espèrent que leurs résultats incitent d’autres collègues à jeter un „nouveau regard“ sur les phénomènes inconscients ou automatiques perturbés dans la maladie de Parkinson afin de mieux comprendre les processus concernés.
Original publication: Nico J Diederich, Glenn Stebbins, Christine Schiltz, Christopher Goetz (2014) Are patients with Parkinson’s disease blind to blindsight? Brain ; doi: 10.1093/brain/awu/094
Communiqué par l’Université du Luxembourg et le Centre Hospitalier de Luxembourg
Britta Schlüter, Responsable du Service de Communication
T +352 46 66 44 6563; F +352 46 66 44 656; britta.schlueter@uni.lu
Nadine Kohner, Chargée du Service de Communication
T +352 4411-8492 ; F +352 45876 ; kohner.nadine@chl.lu
Dans le cadre de la journée européenne de l’obésité, le CHL organise une journée d’information et de sensibilisation vendredi 23 mai, de 14h00 à 20h00, dans le hall du CHL Centre.
L’équipe pluridisciplinaire de la Clinique de l’Obésité sera présente afin d’informer le grand public sur l’obésité et sa prise en charge sous forme d’ateliers. Des conseils diététiques, mesures de la glycémie et de la tension artérielle, calculs du BMI, ainsi qu’une exposition de posters seront notamment proposés.
Les ateliers seront suivis d’une conférence thématique autour le sujet de l’obésité.
L’Organisation mondiale de la Santé estime que plus de 150 millions d’adultes et de 15 millions d’enfants à travers l’Europe seront atteints d’obésité d’ici quelques années. Au Luxembourg comme en Belgique, l’obésité constitue un problème de santé publique : 45 % des hommes et 30% des femmes sont en surpoids, et environ 15% de la population est obèse.
L’obésité est non seulement une maladie chronique multifactorielle par ses causes génétiques, comportementales, ses conséquences psychologiques et médico-physiques, mais également un facteur de risque majeur associé aux maladies telles que: hypertension artérielle, diabète non insulinodépendant de type II, maladies cardiaques, risque de cancer du sein et cancer des intestins, cholestérol, apnée du sommeil, arthrose, infertilité, insuffisance veineuse profonde, reflux œsogastrique, incontinence urinaire.
L’amélioration de la prise en charge des patients obèses constitue un enjeu important de Santé Publique. Dans sa mission de prévention et de promotion de la Santé, le CHL s’est impliqué depuis 2009 en créant la Clinique de l’Obésité. C’est une unité pluridisciplinaire regroupant des chirurgiens spécialisés en chirurgie bariatrique, des médecins endocrinologues, des diététiciens, des psychiatres, des psychologues, des radiologues, des médecins anesthésistes et une infirmière coordinatrice. Une prise en charge globale du patient obèse est assurée par un suivi personnalisé et adapté au sein d’une filière médicale et chirurgicale.
Le 23 mai 2014, dans le cadre de la Journée Européenne de l’Obésité, l’équipe pluridisciplinaire de la Clinique de l’Obésité organise pour le Grand Public des Ateliers thématiques de 14h à 18h au sein du CHL suivis d’une Conférence de 18h à 20h rassemblant les différents intervenants de la Clinique de l’Obésité.
Les objectifs de cet évènement pour le public sont :
ATELIERS THEMATIQUES DE 14H À 18H I Hall d’entrée du CHL Centre & salles annexées
CONFERENCE DE 18H À 20H I Amphithéâtre
Le jeudi 25 septembre, le CHL a eu le plaisir d’inviter à la remise d’un chèque de € 18.000, résultat des ventes de 1.300 exemplaires du livre « Kleng Leit, grouss Geschichten » écrit par les psychologues Michèle Schutz et Rebecca Gaspard, en collaboration avec 16 jeunes atteints de maladie chronique, grave ou rare et suivis à la KannerKlinik du CHL.
Cinq associations en bénéficieront :
A l’occasion de la de remise de chèque, les autrices Michèle Schutz et Rebecca Gaspard ont tout particulièrement remercié les enfants et parents pour avoir participé à ce projet avec autant d’enthousiasme et d’énergie, la Direction du CHL pour leur support inconditionnel, le Rotary Club «Kordall Bascharage» pour leur soutien financier lors de la réalisation du livre, ainsi que toutes les librairies ayant mis en vente le livre et toutes les personnes ayant aidé à sa promotion.
Vu le grand succès de ce projet, les autrices ont également annoncé d’en faire une suite en publiant les témoignages des familles (parents, grands-parents, fratrie…) d’enfants malades chroniques.
La sortie de ce deuxième livre est prévue courant 2016.
A propos des deux auteurs:
Michèle Schutz
Psychologue clinicienne et sociale, a travaillé longtemps dans le domaine de la délinquance juvénile en milieu ouvert et fermé au Luxembourg et en Belgique ainsi que dans l’humanitaire avec MSF (Médecins sans frontières).
A donné des formations à contenu psycho-social et est formée en traumatologie, thérapie brève et en EMDR. Depuis 2008, psychologue à la KannerKlinik.
Rebecca Gaspard
Psychologue clinicienne, psychothérapeute cognitivo-comportementaliste pour enfants et adoles- cents, formée à l’hypnose Eriksonienne thérapeutique et à l'approche de la « Méditation en pleine conscience - Mindfulness », a travaillé au sein du service de Alupse-Dialogue.
Anime des cycles d’initiation à la pratique de la pleine conscience www.mindfulness.lu.
Depuis 2008, psychologue à la Kannerklinik dans le service d’Endocrinologie-Diabétologie Pédiatrique et depuis 2012 exerce en tant que libérale à temps partiel.
Le Centre Hospitalier de Luxembourg et la Société Luxembourgeoise de Pédiatrie invitent à leur matinée thématique :
qui se tiendra le samedi 18 octobre de 9 h à 12h30 à l’amphithéâtre au CHL.
Cette matinée, destinée à un large public (parents, enseignants d’éducation physique et sportive, associations et clubs sportifs, médecins) a comme objectif d’informer et de sensibiliser sur les bénéfices et les risques de la pratique du sport chez les jeunes :
Quels sont les risques liés aux activités du sport chez les jeunes adolescents en bonne santé (accidents, surmenage de l’appareil locomoteur, risques cardio-respiratoires, etc.) et quelles sont les limites à la pratique du sport chez les adolescents atteints de maladies chroniques (asthme, diabètes, cardiopathies)?
Le projet scolaire national visant l’introduction de cours de réanimation ‘Réagis’ et l’installation de défibrillateurs semi automatisés au sein des écoles est également discuté.
Cet événement est placé sous le haut patronage du Ministère de l’Education, du Ministère du Sport et du Ministère de la Santé. Il est reconnu comme formation continue pour les enseignants.
En octobre, le Luxembourg comme beaucoup d’autres pays, revêt son « habit rose » et se mobilise dans la lutte contre le cancer du sein.
Le Centre Hospitalier de Luxembourg, très sensible à ce sujet et dans une recherche constante de l’excellence a entamé depuis fin 2011 une démarche de certification ISO 9001 pour son service de mammographie.
C’est le 16 octobre 2014 que la Société Nationale de Certification et d’homologation (SNCH) a remis officiellement le certificat ISO-9001:2008 à l’Unité de Sénologie du CHL, pour le champ d’application : planification, réalisation, interprétation et envoi des résultats au médecin prescripteur.
Cette démarche est le fruit d’un travail d’équipe depuis plus de trois ans. Il a nécessité la mobilisation de toutes les ressources, tant médicales que soignantes, du Département d’Imagerie Médicale, ainsi que celles de fonctions support du CHL, à savoir : cellule qualité, service pharmacie, département ressources humaines, cellule biomédicale, service achats ainsi que la coopération de la cellule de physique médicale de la Fédération des Hôpitaux Luxembourgeois (FHL)….
L’objectif commun est l’amélioration continue de la qualité et la satisfaction des patientes et des médecins prescripteurs.
Après le Centre National PET, le laboratoire de PMA et le service de dialyse, l’Unité de Sénologie est le 4ème service du CHL à être certifié.
C’est également le seul dans cette spécialité à être certifié au Grand Duché de Luxembourg.
Le défi de cette démarche était de fédérer les deux sites de mammographies de l’Unité de Sénologie, à savoir le site du CHL Centre et le Site du CHL Eich et d’harmoniser les pratiques, qu’elles soient cliniques ou organisationnelles.
Le pari est réussi et s’inscrit dans la perspective de regroupement des deux plateaux techniques dans le futur Centre Mère-Enfant dont l’ouverture est prévue au début du 2e semestre 2015. Cela permettra d’aborder cette échéance dans les meilleures conditions et en toute sérénité.
L’Unité de Sénologie est l’un de cinq centres agréés par le « Programme Mammographie » mis sur pied par le Ministère de la Santé dans le cadre du dépistage du cancer du sein.
C’est également sur le site du CHL qu’est implantée la « Pronetable » ou table dédiée pour les macrobiopsies. C’est un équipement national qui permet des prélèvements du tissu mammaire de gros calibre dans le cas de microcalcifications.
L’activité de l’Unité de Sénologie annuelle représente :
Cliquez ici pour découvrir quelques photos de cet événement.
A l’occasion de la journée mondiale de soins palliatifs, ce jeudi 23 octobre 2014, la Direction du CHL a officiellement inauguré sa nouvelle unité d'hospitalisation de soins palliatifs à la Clinique d’Eich, en présence notamment du Dr Elisabeth Heisbourg, Directeur adjoint à la Direction de la Santé et du Prof. Dr Friedemann Nauck, Président de la société allemande de médecine palliative.
Le CHL dans sa tradition humaniste attache beaucoup d’importance à l’accompagnement de ses patients en fin de vie ainsi que de leurs familles. Après la création en 2001 d’une «équipe mobile de soins palliatifs» et l’ouverture d’une unité d’hospitalisation de 5 lits en 2007, le CHL a en 2010 complété l’équipe médico-soignante en recrutant un médecin spécialiste en soins palliatifs uniquement dédicacé à cette activité.
Le service de soins palliatifs assure aujourd’hui la prise en charge médico-soignante et psycho-sociale de patients atteints de maladies chroniques incurables évoluées ou évolutives. Une grande place est donnée au traitement de la douleur et des symptômes pénibles, à l’accompagnement psychologique dans un souci permanent d’améliorer la qualité de vie des patients quelque soit le stade de leur maladie.
Aujourd’hui, le CHL élargit encore son offre de soins en inaugurant sa nouvelle unité d'hospitalisation. Située au 2e étage de la Clinique d'Eich, cette nouvelle unité est désormais structurée autour de neuf chambres (dont une chambre double) entièrement dédiées à cette activité (ce qui représente un dédoublement des lits par rapport à l’ancienne unité). Cette augmentation de lits répondra à la croissance permanente des besoins dans ce domaine.
L'approche médico-soignante du patient est globale et si les soins sont fondamentaux, l'environnement l'est tout autant. Les patients sont accueillis dans des chambres entièrement adaptées à leurs besoins, avec la possibilité d’héberger une personne accompagnante. L'accueil des proches est prioritaire et sans contrainte horaire. Au cœur de l'Unité, un « lieu de vie » à caractère chaleureux et intime sert de vrai espace familial réservé aux patients et leurs familles.
Les admissions dans cette structure peuvent se faire à partir d'un autre service du CHL, de tout établissement de soins, à la demande du patient, de la famille ou du médecin traitant.
En collaboration avec les bénévoles de OMEGA 90, et plus récemment avec les bénévoles du projet «Young Caritas » de la Croix Rouge luxembourgeoise, l’équipe médico-soignante du Service de Soins Palliatifs œuvre à l’intégration de la dimension sociale dans la prise en charge des patients :