Aujourd'hui, dans le cadre du Diversity Day Lëtzebuerg 2017, le CHL s'engage à promouvoir et valoriser la diversité de son personnel, une diversité au service de celle de ses patients.
Découvrez les principaux indicateurs qui définissent notre culture professionnelle et découvrez quelques uns de nos engagements pour lutter contre la discrimination :
l'égalité des chances et le leadership féminin,
la multiculturalité et la promotion de la langue luxembourgeoise,
le management responsable des équipes,
l'intégration des juniors et leur accompagnement,
la mise en place d'un recrutement de la Diversité.
En 2016, le conseil international des infirmières, a appelé à renforcer la résilience des organisations, ainsi que leur propre résilience pour plus d’efficience du système de santé. Cette demande fait suite au programme lancé par l’ONU lors du Sommet sur le Développement Durable du 25 septembre 2015 : 17 objectifs pour mettre fin à la pauvreté, lutter contre les inégalités et l’injustice et faire face au changement climatique d’ici 2030.
Ainsi, le thème de la journée internationale des infirmières, édition 2017 porte sur « La profession infirmière montre la voie : atteindre les objectifs du développement durable ».
L’infirmière de part son implication sociétale est naturellement un précurseur dans le domaine du développement durable (elle se préoccupe de l’autre ; définition intrinsèque du développement durable).
Le développement durable est un concept visant à permettre le développement des générations présentes sans compromettre celui des générations futures. Il est basé sur trois piliers interdépendants : l’économie (la gouvernance) le social, l'environnement.
Le défi pour nos institutions modernes est de faire :
cohabiter le rôle et la contribution des infirmières avec les normes associées à la technicité des soins modernes (générateur de déchets) et le développement durable
impliquer l’infirmière dans le processus du développement durable où elle est aussi porteur de message clair et adapté à la population
soutenir le rôle moteur de l’infirmière dans le changement (de par son nombre dans un hôpital elle a un pouvoir sur les possibilités d’évolution et d’adaptation dans les pratiques professionnelles).
A l’occasion de cette Journée Internationale et pour promouvoir la contribution du rôle des infirmières dans l’atteinte des objectifs du développement durable, le CHL vous invite à son congrès « Le rôle de l’infirmière dans le développement durable », le 12 mai prochain au CHL.
Public cible :
Toute personne avec un focus pour les soignants intéressés par le concept
Objectifs visés par cette journée
Promouvoir la contribution du rôle des infirmières pour atteindre les objectifs du développement durable
Valoriser l’excellence clinique de l’infirmière au service du développement durable
Valoriser l’infirmière dans les soins de santé primaire, secondaire et tertiaire.
Dans le cadre du 50ième anniversaire de la Kannerklinik, le Centre Hospitalier de Luxembourg invite à une Journée Portes Ouvertes. Des activités pour toute la famille sont au programme de cette journée qui se déroulera le dimanche 14 mai 2017 de 10h00 à 17h00.
Une manière ludique et originale de faire découvrir le Centre Mère-Enfant, mais aussi une très belle occasion de montrer les progrès qui ont pu être réalisés au cours de ces 50 dernières années.
Un parcours « à la carte » sera proposé aux visiteurs avec notamment :
La famille s’agrandit: préparer l’accueil du/des bébés à venir
Atelier thématique « Je deviens grande soeur, je deviens grand frère »
La « Petzi Klinik » pour dédramatiser la prise en charge au service des urgences pédiatriques par des ateliers adressés aux petits et grands
Ateliers interactifs autour de la prévention: la grande prématurité, comment éviter l‘accident domestique, la prévention cardio-vasculaire chez l‘enfant, les troubles scolaires, la prévention des allergies...
La Journée sera l’occasion de découvrir le Centre Mère-Enfant « autrement », de mieux apprécier sa diversité et sa complexité, ainsi que de rencontrer et d’échanger avec les professionnels hospitaliers, en dehors du cadre habituel du soin. Il s'agira également d'un moment opportun de diminuer les angoisses liées à un séjour à l'hôpital.
Une exposition photo témoigne de l’évolution de l’hôpital au fil du temps. La Journée sera aussi l’occasion de découvrir en avant première l'exposition des œuvres réalisées par l'artiste Pascale Seil sur base d'un concours de dessin réalisé à la KannerKlinik au profit de la « Fondation du Grand-Duc et de la Grande-Duchesse ».
Des animations ludiques attendent les enfants tout au long de la journée. Un encadrement culinaire est organisé au bénéfice des Associations « La Chaîne de l’Espoir » et « Pimpampel Asbl ».
En pratique :
Date › Le dimanche 14 mai 2017 › de 10h00 à 17h00
Entrée › Accès via le Hall d’entrée de la Nouvelle Maternité – 2, rue Federspiel
Animations › Des animations ludiques attendent les enfants tout au long de la journée.Un encadrement culinaire est organisé.
En 2016, près de 14.000 petits patients ont été suivis, en ambulatoire et en hospitalisation, dans les divers services de la KannerKlinik et plus de 35.000 enfants et adolescents ont été accueillis à la policlinique-urgences médico-chirurgicale pédiatrique. La KannerKlinik dispose de 74 lits d’hospitalisation répartis sur quatre unités, et en hospitalisation en Pédiatrie chaque enfant peut être accompagné d’un de ses parents 24h/ 24.
Nous comptons sur vous pour annoncer cet événement dans votre organe de presse. Un tout grand merci d’avance !
Contacts presse:
Nadine Kohner Chargée de communication Centre Hospitalier de Luxembourg T. : (+352) 44 11 84 92 Mail : kohner.nadine@chl.lu
Le Centre Hospitalier de Luxembourg dispose à présent de l’équipement de télépathologie moderne nécessaire qui est directement relié au Laboratoire national de santé. Ce projet est actuellement mené dans quatre hôpitaux (CHEM, CHL, HRS et CHDN) dans le cadre du Plan National Cancer et il a été officialisé le 26 avril dernier entre le LNS et le CHL par la signature d’une convention.
Définir si une tumeur est bénigne ou maligne et décider de la suite de la procédure lors d’une intervention chirurgicale, nécessite souvent un échantillon de tissu prélevé en cours d’opération. Ce prélèvement (biopsie) est immédiatement acheminé au Laboratoire national de santé pour examen pendant que le patient reste sur la table d’opération. Dorénavant, avec la procédure novatrice de la télépathologie, cette analyse pourra se faire directement au CHL pendant l’intervention chirurgicale et ce par transfert électronique de l’image de la tumeur au pathologiste du LNS. Ceci permettra au chirurgien de décider de ce chef de la suite de l’opération.
« Ce programme de télépathologie est un excellent exemple des avantages que les systèmes de dossiers de santé électroniques peuvent apporter. Ilaide notamment les pathologistes à faire leur travail plus rapidement et rigoureusement», souligne le Dr Romain Nati, directeur général CHL. D’après le Professeur Friedrich Mühlschlegl, directeur du LNS, ce projet, soutenu par le Ministère de la Santé, s’inscrit parfaitement dans la volonté du LNS d’apporter le meilleur service à la population, en particulier dans la réduction des délais de réponse lors de l’analyse des prélèvements. Compte tenu de la distance entre les hôpitaux et le LNS situé à Dudelange et de l’encombrement éventuel des routes, la télépathologie constitue une solution rationnelle pour éviter d’être tributaire des aléas liés au transport de la biopsie. Cette procédure novatrice fait également gagner du temps au patient et au chirurgien. De plus, il est possible d’obtenir à tout moment un second avis.
Les équipements indispensables pour la mise en œuvre de la télépathologie ont été, en majeure partie, financés par la Fondation Cancer. Le LNS a mis en place les appareils complémentaires nécessaires et assure la formation en macroscopie des techniciens. A noter que la mise en place de cette technologie d’avant-garde est une première mondiale à l’échelle d’un pays entier.
Comment fonctionne la procédure de télépathologie en détail ?
L’installation de télépathologie au CHL comporte un ordinateur équipé d’un logiciel puissant, une macro-caméra et un microscope pouvant être contrôlé de l’extérieur par lignes téléphoniques. Dès qu’un tissu est prélevé, l’échantillon est préparé, découpé et nettoyé sur place par un technicien du LNS spécialement formé à ces tâches.
La macro-caméra prend ensuite un cliché fortement agrandi de l’échantillon qui sera transmis par simple clic de souris au LNS pour étude immédiate. Le pathologiste peut y évaluer la préparation sur son moniteur en temps réel. Pour obtenir un résultat optimal, ce dernier peut sélectionner la partie qu’il veut voir de plus près tout en commandant le microscope de la salle d’opération également avec sa souris. Il s’écoule en moyenne dix minutes entre la préparation du tissu et la transmission d’images. La durée maximale de diagnostic est fixée à 30 minutes et la transmission de celui-ci se fait directement au chirurgien qui peut ainsi reprendre son opération sur la base des informations reçues.
Le Centre Hospitalier de Luxembourg dispose à présent de l’équipement de télépathologie moderne nécessaire qui est directement relié au Laboratoire national de santé. Ce projet est actuellement mené dans quatre hôpitaux (CHEM, CHL, HRS et CHDN) dans le cadre du Plan National Cancer et il a été officialisé le 26 avril dernier entre le LNS et le CHL par la signature d’une convention.
Définir si une tumeur est bénigne ou maligne et décider de la suite de la procédure lors d’une intervention chirurgicale, nécessite souvent un échantillon de tissu prélevé en cours d’opération. Ce prélèvement (biopsie) est immédiatement acheminé au Laboratoire national de santé pour examen pendant que le patient reste sur la table d’opération. Dorénavant, avec la procédure novatrice de la télépathologie, cette analyse pourra se faire directement au CHL pendant l’intervention chirurgicale et ce par transfert électronique de l’image de la tumeur au pathologiste du LNS. Ceci permettra au chirurgien de décider de ce chef de la suite de l’opération.
« Ce programme de télépathologie est un excellent exemple des avantages que les systèmes de dossiers de santé électroniques peuvent apporter. Ilaide notamment les pathologistes à faire leur travail plus rapidement et rigoureusement», souligne le Dr Romain Nati, directeur général CHL. D’après le Professeur Friedrich Mühlschlegl, directeur du LNS, ce projet, soutenu par le Ministère de la Santé, s’inscrit parfaitement dans la volonté du LNS d’apporter le meilleur service à la population, en particulier dans la réduction des délais de réponse lors de l’analyse des prélèvements. Compte tenu de la distance entre les hôpitaux et le LNS situé à Dudelange et de l’encombrement éventuel des routes, la télépathologie constitue une solution rationnelle pour éviter d’être tributaire des aléas liés au transport de la biopsie. Cette procédure novatrice fait également gagner du temps au patient et au chirurgien. De plus, il est possible d’obtenir à tout moment un second avis.
Les équipements indispensables pour la mise en œuvre de la télépathologie ont été, en majeure partie, financés par la Fondation Cancer. Le LNS a mis en place les appareils complémentaires nécessaires et assure la formation en macroscopie des techniciens. A noter que la mise en place de cette technologie d’avant-garde est une première mondiale à l’échelle d’un pays entier.
Comment fonctionne la procédure de télépathologie en détail ?
L’installation de télépathologie au CHL comporte un ordinateur équipé d’un logiciel puissant, une macro-caméra et un microscope pouvant être contrôlé de l’extérieur par lignes téléphoniques. Dès qu’un tissu est prélevé, l’échantillon est préparé, découpé et nettoyé sur place par un technicien du LNS spécialement formé à ces tâches.
La macro-caméra prend ensuite un cliché fortement agrandi de l’échantillon qui sera transmis par simple clic de souris au LNS pour étude immédiate. Le pathologiste peut y évaluer la préparation sur son moniteur en temps réel. Pour obtenir un résultat optimal, ce dernier peut sélectionner la partie qu’il veut voir de plus près tout en commandant le microscope de la salle d’opération également avec sa souris. Il s’écoule en moyenne dix minutes entre la préparation du tissu et la transmission d’images. La durée maximale de diagnostic est fixée à 30 minutes et la transmission de celui-ci se fait directement au chirurgien qui peut ainsi reprendre son opération sur la base des informations reçues.
Eingeladen sind die Neurologen, Radiologen, Internisten, Allgemeinärzte, aber auch andere Interessierte aus dem Großherzogtum Luxemburg, dem Trierer Raum und der gesamten Großregion