Docteur Hervé Sing

Docteur Hervé Sing

Dr SING Hervé a rejoint le service des Urgences adultes du CHL le 1er mai 2024 en tant que médecin spécialiste en médecine d’urgence.

Dr SING est titulaire du diplôme en Médecine (1999, Université Catholique de Louvain), ainsi que de la spécialisation en Médecine d’urgence (2005, Université de Paris Sorbonne).

Il a complété son cursus de spécialisation avec des formations universitaires dans les domaines suivants :

  • Transports héliportés et prise en charge des urgences en milieu périlleux (2004, CHU Pointe à Pitre).
  • Formation NRBC-E (2006, Centre Hospitalier de Laval).
  • Contrôle des voies respiratoires supérieures (2007, Université de Paris Sorbonne).
  • Echographies urgentes (2008, CFFE Nîmes).
  • Accouchement inopiné en préhospitalier (2010, CHU Nîmes).
  • Accueil des urgences pédiatriques (2011, Université de Montpellier).
  • Instructeur en simulation (2015, CHU Nîmes).

Avant de nous rejoindre, Dr SING a exercé dans sa spécialisation dans plusieurs établissements hospitaliers français.
Il a également réalisé de nombreuses missions d’enseignement et de formation continue en tant que formateur.

Langues parlées :

  • Français
  • Anglais

 

La commotion cérébrale dans le sport

La commotion cérébrale dans le sport

Qu'est-ce qu'une commotion cérébrale ? 

Une commotion cérébrale est un disfonctionnement momentané du cerveau causée par un coup à la tête, à la nuque ou au corps, entraînant un transfert d'énergie impulsif vers le cerveau. Ce dernier heurte l'intérieur de la boite crânienne. Les symptômes peuvent apparaître jusqu'à 48 heures après. Une commotion cérébrale ne peut être détectée par un scanner CT ou une radiographie.  

Quand y a-t-il une suspicion d’une commotion cérébrale ?

Il y a toujours suspicion de commotion cérébrale lors d'un impact ou d'un coup à la tête, à la nuque, au visage ou au tronc. Vous avez l'impression que votre cerveau et votre corps ne fonctionnent pas correctement, quelque chose est différent. 

Symptômes d'une commotion cérébrale

  • Maux de tête, pression dans la tête   
  •  Douleurs à la nuque
  • Nausées/Vomissements
  • Sensation de vertiges, étourdissements
  • Vision floue
  • Problèmes d'équilibre
  • Sensibilité à la lumière et au bruit
  • Sensation d'être "dans le brouillard"
  • Sensation d'être ralenti/e
  • Difficultés de concentration
  • Fatigue, épuisement
  • Confusion
  • Somnolence
  • Plus émotif que d'habitude
  • Irritabilité accrue
  • Tristesse 
  • Nervosité ou anxiété
  • Difficultés à s'endormir
  • Fréquence cardiaque anormale
  • Transpiration excessive

 

Signes visibles d'une commotion cérébrale

  • La personne reste immobile sur le terrain de jeu.
  • La personne ne peut se lever que lentement après un coup direct ou indirect sur la tête. 
  • Désorientation, incapacité de répondre à des questions simples (date, heure, quel mi-temps, ...). 
  • Regard vide. 
  • Problèmes d'équilibre, mouvements désordonnés, trébuchements. 
  • Blessure à la tête ou au visage.  

Quand est-ce une URGENCE ?

 

  • Douleurs ou sensibilité à la nuque

  • Vision double ou trouble persistant

  • Faiblesse, sensation de fourmillement ou de brûlure dans les bras ou les jambes

  • Maux de tête sévères ou s’intensifiant

  • Crise épileptique ou convulsions

  • Perte de conscience

  • Détérioration de l'état de conscience

  • Vomissements

  • Agitation ou agressivité croissante  
     

Si ces signes sont présents, une aide médicale immédiate est nécessaire pour écarter une lésion plus grave telle qu'un traumatisme crânien. 

N'oubliez pas :  

  • Les principes de base des premiers secours doivent être respectés (retirer de la zone dangereuse, vérifier les voies respiratoires, la respiration, la circulation). 
  • Évitez de déplacer l'athlète si vous n'êtes pas formé à le faire (à l'exception des mouvements nécessaires aux premiers secours).
  • Ne retirez pas de casque ou autre équipement si vous n'êtes pas formé à le faire de manière sécurisée.   

Que faire en cas de suspicion de commotion cérébrale ?

En cas d’une suspicion de commotion cérébrale, si l’athlète présente des signes visibles ou des symptômes cliniques, il doit être retiré du jeu.   Continuer à jouer augmente le risque d'une évolution plus sévère, de symptômes prolongés en durée et de nouvelles blessures.

Quelques informations importantes : 

Tél. : 4411-7305  (En appelant ce numéro, vous recevez toutes les informations importantes dont vous avez besoin jusqu’à votre rendez-vous à la clinique de la commotion cérébrale SCC).  

E-mail : concussion.cmol@chl.lu

https://sirc.ca/wp-content/uploads/2019/12/RecognitionTool5-FR1.pdf

https://cattonline.com/wp-content/uploads/2023/11/CATT-Poster-Concussion-Pathway-V5-2023-11x17-1.jpg

 

 

Réf. : Flyer Commotion cerebrale Juin 2024

Services associés
L'injection sous-cutanée

L'injection sous-cutanée

Clexane®

Il s'agit d'un médicament anticoagulant pour la prévention des phlébites. Il ne peut être administré que par injection sous-cutanée. 

L'infirmière vous a montré comment le faire vous même en injectant le produit dans la graisse abdominale après désinfection préalable de l'endroit. Ne jetez pas les seringues dans la poubelle, mais mettez - les dans une bouteille d’eau et ramenez celle - ci à la pharmacie de ville. Si vous rencontrez des difficultés à faire cette injection, une ordonnance pour les soins à domicile vous est donnée. Vous pouvez à ce moment appeler une des organisations d'assistance d'aide au domicile (genre Help, Croix - Rouge, Verbandskescht, Camille etc...) et fixer un RDV avec une infirmière afin de faire ces injections à domicile. Il est très important de continuer ce traitement et de respecter la durée et l’horaire des injections. Ce médicament, comme tous les anticoagulants, peut générer certains effets secondaires ( hématome et / ou douleur au site d'injection, hémorragie : par ex. saignement du nez... , urticaire, prurit, maux de tête) .

Technique d'injection :

  • L'injection doit être réalisée de part et d'autre du nombril en alternant chaque jour de côté.
Dessin d'un ventre avec les zones d'injection
  • Après avoir désinfecté la peau, formez un pli cutané.
Dessin d'une main qui pince le ventre pour faire un pli cutané

 

  • Introduire verticalement et entièrement l'aiguille dans le pli cutané. Ne pas enlever la petite bulle d'airprésente dans la seringue. 

Dessin de l'injection dans le pli cutané du ventre

  • Après avoir injecté lentement la solution, retirez d'abord l'aiguille et ensuite vous pouvez lâcher le pli. Ne pas masser la peau après injection.

Dessin montrant l'enlèvement de la seringue du pli cutané du ventre

›    En cas de problème ou de persistance d'un saignement, si il y a présence de sang dans les selles (voire selles noires) et / ou les urines, si vous avez des maux de têtes persistants et d'apparition brutale, veuillez contacter immédiatement votre médecin traitant ou le 112.
 

Réf. : Flyer Injection sous-cutanee Hop de jour chir Juin 2024

Services associés
Sport et diabète

Sport et diabète

Avoir une activité physique régulière est essentiel à ton bien-être et le diabète ne doit pas t’en priver!  

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (2020), il serait nécessaire d’avoir : 

  • une activité physique d’intensité modérée à soutenue au moins 60 minutes par jour, 
  • des activités d’endurance d’intensité soutenue au moins 3 fois par semaine.  

QUELQUES RÈGLES DE BASE :

  • Amène toujours ton matériel pour pouvoir mesurer la glycémie. 
  • Amène toujours assez de resucrage (sucre rapide et sucre lent) ainsi que ton kit d’urgence (Baqsimi). 
  •  Mesure toujours ta glycémie avant et après le sport (au besoin pendant le sport). 
  • Informe ton entraîneur, et éventuellement les autres participants, de ton diabète (aide en cas d’hypoglycémie).
  • Tu dois avoir la possibilité de pouvoir contrôler ta glycémie et de pouvoir te resucrer pendant l’entraînement.
  • Adapte ta dose d’insuline ou/et de glucides afin d’éviter une hypoglycémie qui peut survenir jusqu’à 6-12 heures après le sport, en fonction de son intensité.
  • N’injecte jamais dans le muscle que tu vas solliciter. 
  • Si ta glycémie est supérieure à 250 mg/dl, fais attention car elle pourrait encore monter davantage et réduire tes performances.  

Faire du sport, c’est bon pour le moral mais pas que…

Un meilleur contrôle de ton diabète tu auras  / Les complications tu éviteras  / De nouveaux amis tu te feras  / De l’énergie tu gagneras   / La zen attitude tu adopteras!  / Un corps d’athlète tu sculpteras  / Ton cœur et tes poumons tu préserveras…  Et que la force soit avec toi !
Petit fille qui danse

Traitement par pompe à insuline

Avant le sport :    
  • Prévoir une réduction de bolus en cas de sport dans les 1-2 heures après le repas.
  • Prévoir une réduction du basal (basal temporaire) 1-2 heures avant le sport (si intense). 
  • En cas d’hyperglycémie > 250 mg/d pendant > 3 heures : contrôler les urines (corps cétoniques) et faire une correction en fonction des résultats.

En cas d’hypoglycémie : resucrage et contrôle 20 min après. En général, démarrer le sport avec une glycémie de minimum 150 mg/dl. A adapter selon l’intensité du sport et l’expérience personnelle. ATTENTION à certains sports : baignade-natation, plongée et escalade.  

Pendant le sport : 
  • Eventuellement enlever la pompe au maximum 2 heures ou prévoir une réduction du basal (basal temporaire) ou/et 10-20g de glucides rapides ou lents par heure d’activité (en fonction de l’activité).  
Après le sport :
  • Prévoir une réduction du basal (basal temporaire) pendant plusieurs heures.
  • Envisager une petite collation de 10-15g de glucides lents (lait, barre de céréales) sans injection supplémentaire. 

Traitement par multiples injections

Avant le sport :    
  • Réduire la dose d’insuline en cas de sport dans les 1-2 heures après le repas.
  •  Prévoir des glucides lents supplémentaires (10 -20g pour 1 heure d’activité) en cas de sport > 2 heures après le repas.
  •  Prévoir une collation avec injection d’insuline (éventuellement réduire la dose) en cas d’entraînement fin de journée.
Pendant le sport : 
  • Prévoir 10-20g de glucides rapides ou lents par heure d’activité (en fonction de l’activité).    
Après le sport :
  • Envisager une réduction de l’insuline lente (au coucher) pour la nuit (en fonction de l’intensité de l’activité).
  • Prévoir une petite collation de 10-15g de glucides lents (lait, barre de céréales) sans injection supplémentaire.
Exemples de glucides lents à prendre :     

1 pomme/poire/orange ou 2 kiwis/3 clémentines (15g de glucides) 

OU    1 petite banane (20-30g de glucides) 

OU    1 barre de céréales (15-20g de glucides)

 

En fonction de la glycémie, des glucides rapides peuvent être utiles : 100 ml de jus (10g de glucides) OU 2 tablettes de Dextro-Energy (10g de glucides). 

Attention : les besoins supplémentaires en glucides ou la réduction d’insuline peuvent fortement varier d’un individu à l’autre et selon les différentes activités ! 

Un sportif bien habitué à son activité n’a souvent pas besoin de glucides supplémentaires ou de réduction d’insuline ! 

IMPORTANT : Pour toute question supplémentaire, vous pouvez en discuter avec l’équipe DECCP.


 

Réf. : Flyer Sport et diabete DECCP Juin 2024

Services associés
Scintigraphie de perfusion myocardique

Scintigraphie de perfusion myocardique

Qu’est-ce qu’une scintigraphie myocardique ?

Le myocarde est le tissu musculaire du cœur. Sa contraction au niveau du ventricule gauche permet d’éjecter le sang vers la circulation systémique et de vasculariser l’ensemble des organes et muscles du corps. Le but de cet examen est d'explorer la perfusion du myocarde : c’est-à-dire l’apport de sang dans le myocarde par les vaisseaux « coronaires », à la recherche d’une éventuelle souffrance du cœur, survenant principalement à l’effort (appelé ischémie ou anomalie de la réserve coronaire).

Importance de la préparation avant la scintigraphie myocardique ?

  • Ne pas venir à jeun, vous devez impérativement prendre un petit déjeuner avant de venir faire votre examen (exemple : pain avec du beurre ou de la confiture, œuf, charcuterie, fromage, produit laitier, fruits). Attention, certains aliments sont interdits le jour de la réalisation de la scintigraphie : café, ricorée/chicorée, thé, boisson chocolatée, chocolat, banane et sodas (Coca-Cola, Pepsi, etc). En cas de non-respect de ces consignes, l'examen ne pourra pas être réalisé.
  • Apportez une bouteille d'eau et une collation riche en lipides à consommer après l'épreuve d'effort (ex: barre de céréales, oléagineux, chocolat, biscuit, gâteaux, fromage avec du pain...). 
  • Si vous avez un traitement à visée cardiaque, votre médecin (cardiologue) vous aura précisé, en principe, s'il faut ou non l'arrêter avant l'examen. Les médicaments qui ralentissent le cœur, comme les bêta-bloquants peuvent être arrêtés 2 à 5 jours avant la scintigraphie, si votre cardiologue le juge nécessaire.     

    En l'absence de consignes de sa part, poursuivez la prise de vos médicaments habituels.  

  • Ramenez votre liste de médicaments.  
  • Pour effectuer l'épreuve d'effort, amenez une tenue confortable (chaussures de sport, survêtement). Pas de possibilité de douche sur place. 
  • Si vous êtes diabétique sous insuline, prévoyez une collation, ainsi que votre traitement par insuline habituel. 

Comment se déroule l'examen ?

Jour de la scintigraphie myocardique  de stress : 

L’examen scintigraphique « de stress » se déroule en 2 parties :

1ÈRE ÉTAPE : ÉPREUVE DE STRESS CARDIAQUE  
 

Deux types de stress cardiaques sont disponibles : épreuve d’effort ou stress pharmacologique. 

L’épreuve d'effort est réalisée sur un vélo (cycloergomètre) sous la surveillance d'un médecin cardiologue couplé avec un enregistrement de votre électrocardiogramme (ECG) avec augmentation progressive de la charge. Au maximum de l’effort, le traceur faiblement radioactif qui sert à faire les images scintigraphiques est injecté. Il faudra continuer à pédaler pendant encore 1 minute après l'injection. 

Si vous ne pouvez pas pédaler, il est possible de remplacer l'épreuve d'effort par une injection médicamenteuse qui simule un effort (par dilatation des vaisseaux « coronaires »). L’injection intra-veineuse du radiotraceur radioactif est quand même nécessaire pour faire les images scintigraphiques. 

2E ÉTAPE : RÉALISATION DES IMAGES 

Une première série d'images est réalisée directement après l'épreuve d'effort. Ces images sont réalisées à l'aide d'une gamma-caméra. Pour cela, vous serez allongé(e) sur le dos, immobile et l'appareil tournera autour de vous pendant une vingtaine de minutes. 

La durée totale de votre passage dans le service est d'environ 2 heures. 

Dans certains cas la réalisation de la scintigraphie de repos peut être réalisée le jour même, quelques heures après les images réalisées le matin. 

Jour de la scintigraphie myocardique de repos :

Dans la plupart des cas une scintigraphie de repos est nécessaire dans les  jours qui suivent ou qui précèdent. Les images sont réalisées après une nouvelle injection du traceur (mais sans épreuve de stress préalable). 

Vous pouvez manger et prendre vos traitements habituels le jour de l'examen. 

La durée totale de passage dans le service est de moins d’une heure pour la scintigraphie de repos.

> Nous nous tenons à votre disposition pour toute autre question.


 

Réf. : Flyer Scintigraphie myocardique Sept 2024

Services associés
Le CHL et le CHdN signent une convention visant à mutualiser leurs activités de laboratoire hospitalier

Le CHL et le CHdN signent une convention visant à mutualiser leurs activités de laboratoire hospitalier

Ce 7 juin 2024, le Conseil d’administration du CHdN, la Commission administrative du CHL, ainsi que les directions générales des deux hôpitaux se sont réunis au CHL pour officialiser la signature d'une convention visant à fixer les bases d’une collaboration entre les deux hôpitaux en vue de la mutualisation de leurs activités de laboratoire hospitalier. Cette recherche de synergies souhaitées par les deux directions, poursuit un double objectif : offrir aux cliniciens de chacune des deux institutions des analyses et des prestations de laboratoires de haute qualité tout en garantissant l’efficience et le retour à l’équilibre financier. 

Photo de la signature

De gauche à droite : Dr Paul Wirtgen - Directeur général du CHDN, M. Jean Feith - Président du Conseil d'administration du CHDN, M. Paul Mousel - Président de la Commission administrative du CHL et Dr Martine Goergen - Directeur général du CHL.

Les principaux aspects de cette convention comprennent notamment :

  • Lidentification des achats d’équipements, de consommables et réactifs de laboratoire en commun ou effectués par l’un des deux hôpitaux pour le compte des deux.

  • L’harmonisation des analyses de biologie médicale, avec centralisation des analyses sur l’un ou l’autre des deux laboratoires en tenant compte des expertises et des automates existants et élaboration de procédures communes pour garantir la continuité de service, en cas de dysfonctionnement d’un automate notamment.

  • L’engagement des deux hôpitaux pour garantir une forte interopérabilité (lab-to-lab) des systèmes d'information, pré-requis indispensable à toute prestation d’analyses par l’un des deux laboratoiresL’organisation d'audits croisés nécessaires dans les programmes d’accréditations des laboratoires par les biologistes.

  • La tenue de réunions de coordination semestrielles pour suivre l'évolution de la collaboration.

  • La définition et le suivi d'indicateurs pour évaluer la collaboration, comme le taux d'achat en commun et les remises obtenues lors des négociations.

     

Ces efforts conjoints, salués et promus par la CNS, témoignent de la volonté commune du CHL et du CHdN de fournir des services de santé de qualité, tout en garantissant la pérennité économique des laboratoires hospitaliers. 

Photos des personnes impliquées dans ce projet

Conférence : Combattre l'épidémie mortelle de tuberculose (TB)

Conférence : Combattre l'épidémie mortelle de tuberculose (TB)

La Fondation MSF pour la recherche humanitaire vous invite à une conférence et à une table ronde, en anglais, sur le thème
Combattre l'épidémie mortelle de tuberculose (TB) : l'expérience de Médecins Sans Frontières et du Luxembourg pour combler les lacunes par la recherche opérationnelle.

L'événement aura lieu le mercredi 26 juin 2024 à 18h30, à l'amphithéâtre du CHL à Luxembourg et en ligne

Des experts de la tuberculose partageront leur expérience et discuteront des défis et des opportunités de la prise en charge de la tuberculose dans les contextes de conflit et de migration.
Intervenants
  • Dr. Oumou Younoussa BAH-SOW, Professeur de pneumo-phtisiologie, Faculté de Médecine, Université Gamal Abdel Nasser University (UGANC), Conakry
  • Dr. Gabriella Ferlazzo, Conseillère médicale TB à Médecins Sans Frontières (MSF) Access Campaign
  • Joanna Ładomirska, Coordinatrice médicale à MSF Pologne
  • Dr. Anne Vergison, Chef de Division de l'Inspection Sanitaire à la Direction de la santé, Luxembourg
 
La table ronde sera modérée par Dr Amrish Baidjoe, Directeur de l’unité MSF LuxOR
 
L’entrée est libre sur inscription
Pour plus d’informations sur le programme, les intervenants et pour s’inscrire : https://msf.lu/conference-tb
 
 
Olivier Schmitt, nouveau directeur des Ressources Humaines du CHL

Olivier Schmitt, nouveau directeur des Ressources Humaines du CHL

Monsieur Olivier Schmitt a pris ses fonctions le 1er juin. Nous lui souhaitons pleine réussite dans ses nouvelles responsabilités.

Photo d'Olivier Schmitt

Olivier Schmitt, 49 ans, détient un Master «relations de travail, négociation et organisation» (2003, IAE de Metz), ainsi que d’un Executive MBA (2006, ESCP Europe). Fort de plus de 20 ans d’expérience dans le management stratégique d’entreprise, la gestion des ressources humaines et le conseil, il a exercé tant en France qu’au Luxembourg.

Sa dernière fonction en date est celle de Directeur des Ressources Humaines au sein du groupe Karp-Kneip au Luxembourg, poste qu’il occupait depuis 2022.
 

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